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      7 min

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      MP3 (15.01 Mo)

      « J’ai plutôt un parcours atypique et Laforêt recherche des personnes qui aiment entreprendre : j’ai ce profil-là », explique Mathieu Pinto, franchisé Laforêt à Savigny-sur-Orge.

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      Mathieu Pinto, bonjour. Vous êtes franchisé Laforêt à Savigny-sur-Orge. Tout d’abord, merci d’avoir accepté notre invitation.

      Bonjour, avec grand plaisir.

      Pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre l’enseigne Laforêt ?

      Alors moi, en parcours professionnel, c’est vrai que je n’ai pas été un super élève au niveau de l’école, donc je n’ai pas perduré au niveau des études. J’ai commencé à travailler dès le plus jeune âge sur les marchés en tant que commerçant, pour la vente de fruits, légumes et de la poissonnerie, pour me faire un petit peu d’argent de poche. Et à partir de mes 18 ans, j’ai décidé de me lancer à mon compte et acheter une première place de marché qui m’a permis de la développer, de la réagrandir avec plusieurs places et plusieurs boutiques de fruits et légumes bio. Au bout de sept ans, j’en avais un petit peu marre de me lever tôt à 2h00 du matin, etc. J’avais une nouvelle vision de vie et j’ai décidé de faire une reconversion professionnelle et m’orienter dans l’immobilier. C’est de ce fait que j’ai contacté la franchise Laforêt.

      Pourquoi le choix du secteur de l’immobilier pour cette reconversion ?

      Pourquoi l’immobilier ? Parce que déjà, c’est un marché qui permet d’obtenir beaucoup d’opportunités, d’un point de vue professionnel ou personnel. Et puis, à titre personnel, j’ai pu faire quelques petits investissements avant, notamment sur l’achat d’appartements ou de la revente ou de la mise en location. Donc, ça m’a donné goût à ce domaine et à l’immobilier.

      Est-ce que vous aviez contacté d’autres réseaux en dehors de l’enseigne Laforêt ?

      J’ai contacté d’autres réseaux. Il y avait d’autres grandes franchises également. J’ai pu faire une comparaison de services d’orientation qui proposaient ces autres enseignes et j’ai choisi la meilleure enseigne de l’immobilier pour pouvoir me lancer dans mon nouveau projet professionnel.

      Qu’est-ce qui vous a séduit plus particulièrement dans l’enseigne Laforêt ?

      Il y avait un gros accompagnement sur cette reconversion, comme je vous le disais tout à l’heure, j’étais quelqu’un qui n’était pas forcément un élève modèle au niveau de l’école. Et le fait de ne pas avoir de bagage, de diplôme, pour pouvoir obtenir des capacités professionnelles à acquérir une agence, Laforêt vous accompagne de A à Z sur l’obtention de ces diplômes-là. Ils appellent ça le Visa Manager, c’est une formation de plusieurs semaines qui vous permet à la fin d’obtenir un certificat et donc vos cartes professionnelles.

      Et selon vous, qu’est-ce qui a séduit l’enseigne Laforêt dans votre profil, dans votre parcours ?

      Je pense que c’est parce que j’ai plutôt un parcours un petit peu atypique. C’est vrai que je suis quelqu’un qui a été débrouillard assez jeune. Le fait de me mettre à mon compte à mes 18 ans. Et puis, Laforêt recherche des personnes qui aiment entreprendre. J’ai ce profil-là de pouvoir entreprendre et de pouvoir développer mes activités professionnelles ou personnelles.

      Est-ce qu’il s’agissait d’une création d’agence ou d’une reprise ?

      Au tout début, c’était sur une création d’agence. Et au fil des semaines qui passaient, Laforêt a pu avoir une opportunité sur une reprise dans une ville qui était plus proche de mon domicile. De ce fait, je suis parti sur une reprise d’agence.

      D’accord. Comment s’est passé le démarrage d’activité par rapport à vos prévisions ?

      L’activité a été un petit peu plus compliqué au début parce que j’ai repris l’agence sur fin d’année 2022, pour être plus exact, en novembre 2022, sachant qu’on a commencé une petite crise d’immobilier, un marché qui a complètement changé, des taux d’intérêt qui ont été multipliés par trois et on a un marché qui s’est fait stopper quasiment du jour au lendemain. Donc, on a dû mettre en place dans notre agence des moyens, des actions qui ont permis de nous différencier de la concurrence et de pouvoir justement passer cette crise-là assez rapidement. Et en plus de ça, on avait Laforêt qui nous accompagnait et qui nous donnait des moyens supplémentaires pour pouvoir justement passer mieux cette crise que nos concurrents.

      Il me semble que vous avez également une deuxième agence dans l’Essonne, c’est bien ça ?

      Effectivement, j’ai pu avoir l’opportunité de reprendre cette deuxième agence en juillet 2024. Cette agence se situe sur la commune de Chilly-Mazarin. Une agence, pareil, passion de création sur une reprise qui était aussi également un petit peu sous-staffée en perte de performance et qu’il faut remettre les moyens et cette nouveauté pour pouvoir redynamiser cette agence et la refaire briller comme elle se doit.

      Aujourd’hui, vous employez combien de collaborateurs sur ces deux agences ?

      On est sur une quinzaine de collaborateurs, exclusivement des contrats d’agents commerciaux.

      Petite question sur l’aspect financier. Une reprise d’agence Laforêt, ça représente quelle enveloppe ?

      Tout dépend de la valorisation de l’agence, de ce qu’elle va faire, ce qu’elle va produire. On va avoir différents facteurs qui rentrent en compte. Si l’agence ne fait que de la transaction, si elle s’occupe aussi de la mise en place de la location, si elle fait également de la gestion locative. Donc, selon ces facteurs-là, la fourchette de l’achat d’une agence varie.

      Comment est-ce que vous prévoyez de faire évoluer vos deux agences dans les mois, les années qui viennent ? Quels sont vos projets ?

      Dans un premier temps, on est toujours sur un recrutement qui est constant dans nos agences. On recherche des profils qui sont motivés, qui ont envie d’apprendre, qui ont envie d’évoluer professionnellement, d’apprendre un nouveau métier. On a un deuxième levier où on se consacre beaucoup sur la gestion locative pour essayer également un beau marché, aller chercher une nouvelle casquette qu’on peut mettre sur notre dos et puis se consacrer effectivement sur cette gestion est importante.

      Pour finir, quels conseils vous pourriez donner à quelqu’un qui hésiterait à se reconvertir comme vous l’avez fait pour devenir franchisé ?

      Quels conseils je pourrais donner ? Moi, j’ai une petite phrase que je m’applique tous les jours, c’est discipline de travail. C’est mes deux mots que je mets toujours en place. Il ne faut pas avoir peur. Demain, les personnes qui souhaitent refaire une conversion professionnelle, il faut être accompagné. Tout seul, c’est compliqué. Aujourd’hui, choisir une franchise qui a les épaules, qui a la notoriété, qui a le savoir-faire, qui vont vous inculquer des méthodes. Vous allez avoir énormément de chances de pouvoir réussir dans votre reconversion professionnelle. Lors de ma reconversion, j’avais des personnes qui avaient 55, voire 60 ans, qui eux faisaient des reconversions aussi, qui ont choisi le réseau Laforêt. Donc, il n’y a pas d’âge, il n’y a pas de temps. Il faut juste prendre cette force-là et se dire : Allez, go, je fonce !

      Merci beaucoup pour ces bons conseils, Mathieu Pinto. Je rappelle que vous êtes franchisé Laforêt à Savigny-sur-Orge et que l’actualité du réseau Laforêt est à retrouver sur les sites Franchise Magazine et AC Franchise.

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