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      Sandra Lagrange, franchisée Sveltéo à Sarreguemines et Saint-Avold : “A mon compte depuis 2005, j’ai transformé mon institut de beauté traditionnel en centre Sveltéo”.

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      Sommaire

      Sandra Lagrange, bonjour. Vous êtes franchisée Sveltéo à Sarreguemines et Saint-Avold. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise Magazine.

      Je vous en prie, bonjour. Donc effectivement, je suis Sveltéo à Sarreguemines et Saint-Avold.

      Pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre l’enseigne Sveltéo ?

      Je suis dans le monde de l’esthétique. Je suis esthéticienne de métier depuis 2002, je suis entrée chez Sveltéo car j’étais en institut de beauté traditionnelle avant. J’étais déjà à mon comte et je me suis vite rendu compte que le traditionnel allait mourir et qu’il fallait se tourner vers les technologies. Donc, au préalable j’avais rentré des technologies telles que le LPG, qu’on connaît déjà, encore maintenant. J’avais envie d’aller plus loin, donc j’ai cherché un partenaire. Je me suis tournée vers une franchise de technologies qui me permet d’aller plus loin.

      Qu’est-ce qui vous a attiré, plus particulièrement, dans le concept Sveltéo ?

      Deux choses, pour être honnête, comme tout le monde on doit gagner de l’argent, et on fait plus de chiffres avec des technologies. C’est pour ça que je vous dis que le traditionnel se meurt. Les instituts traditionnels, il n’y en a plus beaucoup. Et moi, j’avais envie d’aller plus loin, de prospérer, d’ouvrir d’autres centres. Et en traditionnel et en tant qu’indépendante, j’avais besoin d’avoir un partenaire à mes côtés. Et aussi parce que la clientèle, a envie de plus en plus de résultats, elle veut plus de technologies. Le traditionnel ne suffit pas. Donc, que ce soit pour la minceur ou l’anti-âge ou la dépilation, maintenant, les clientes veulent plus de résultats que ce qu’on peut leur apporter en traditionnel.

      Vous étiez déjà à votre compte avant de rejoindre l’enseigne ?

      Oui, depuis 2005.

      Vous avez déjà l’expérience de la gestion d’entreprise ?

      Oui, c’est ça.

      Il s’est écoulé quel délai entre votre premier contact avec l’enseigne et le démarrage de votre activité ?

      On a eu un contact déjà au préalable pendant à peu près six mois, mais c’est depuis Sveltéo. La marque existe depuis deux, trois ans. Ça fait deux, trois ans que je suis avec eux.

      D’accord. Et du coup, vous avez passé sous l’enseigne un centre déjà existant ?

      Oui, c’est ça. En fait, le centre de Sarreguemines était existant, donc on a fait évoluer un institut traditionnel vers un centre Sveltéo. Et Saint-Avold, c’était une création.

      Même si vous étiez déjà dans le métier, est-ce que vous avez été formée par votre nouveau franchiseur ?

      Oui, bien sûr, c’est une obligation. Déjà, avant d’être formée à leur protocole, à leur méthode, j’ai bien été accompagnée pour transformer mon institut, pour retravailler tout ce qui était prévisionnel, besoins… On est vraiment accompagné de A à Z. Une fois que tout ça est prêt, la formation est obligatoire avant de pouvoir accueillir la clientèle. Dès lors que vous travaillez avec des technologies ou des méthodes de franchise, il faut être formé. C’est très important.

      Et par rapport à votre objectif en rejoignant l’enseigne, l’activité de votre centre a évolué comme vous le souhaitiez ?

      Au-delà de mes espérances. En altitude traditionnel, c’était déjà très bien. Je travaillais toute seule à l’époque, si je faisais 10-12 000 €, j’étais contente. Mais là, je triple, voire quadruple mon chiffre d’affaires mensuel.

      Et ça, pour quel investissement de départ pour rejoindre l’enseigne ?

      L’investissement de départ, ça dépend pour une création complète ou une transformation, ce n’est pas la même chose. Je n’ai plus les chiffres en tête, mais c’était à l’époque un investissement. Le concept en lui-même, c’était 49 000 €. Après, ça dépend des travaux que vous avez et des à-côtés que vous pouvez ajouter.

      Et dans un centre, vous travaillez seule, vous avez des employés ?

      Oui, j’ai dû embaucher plus de monde. En général, on est deux, voire trois maximums. Donc, pour un chiffre d’affaires bien supérieur, deux, trois personnes, c’est tout à fait acceptable.

      Et le deuxième centre, c’était une création, une reprise ?

      Non, c’était une création.

      C’est une opportunité qui s’est présentée, une proposition peut-être de votre franchiseur ?

      Non, c’était un choix de ma part parce que je voulais ouvrir plusieurs centres. C’est pour ça que j’ai cherché une franchise à mes côtés et une opportunité de local s’est présentée à moi. Donc, j’ai ouvert un deuxième centre.

      Quand est-ce que cette ouverture a eu lieu ?

      Elle a eu lieu en 2021.

      Et sur vos deux centres aujourd’hui, vous avez combien de personnes employées ?

      Sur le centre de Sarreguemines, elles sont maintenant trois parce que j’ai incorporé le corner Dépiléo au magasin Sveltéo. C’est-à-dire que j’ai investi dans la dépilation définitive par laser d’iode qui est nouveau chez Sveltéo. Elles sont trois au lieu de deux, j’ai augmenté le personnel. Et pareil pour Saint-Avold, elles étaient deux. J’ai rajouté une troisième personne parce que j’ai également ajouté le corner Dépiléo, ça rajoute du chiffre d’affaires.

      Et est-ce que vous avez d’autres projets avec l’enseigne, peut-être sur d’autres villes de la région ?

      Oui, si j’ai une opportunité de local, oui, bien sûr, avec plaisir. Tout se passe bien. Je progresse de mois en mois donc je ne vois pas pourquoi je n’ouvrirai pas d’autres.

      Très bien. Et pour finir, quel conseil vous auriez envie de donner à quelqu’un qui hésiterait à se lancer dans cette activité ?

      Qu’il ne faut pas hésiter parce qu’en fait, la minceur, c’est inépuisable. Même les personnes qui n’ont pas forcément de quoi perdre, il y a toujours des clients car nous sommes dans le monde d’améliorer son apparence visuelle pour les autres, mais pour soi-même aussi. Et la dépilation laser, a le vent en poupe. Donc cette franchise propose vraiment tout ce qui est tendance actuellement, en plus de la minceur qui est inépuisable. Donc si le prévisionnel est bon, votre local est bon et si vous avez envie d’investir, il n’y a pas de raison que ça ne fonctionne pas.

      Sandra Lagrange, je vous remercie. Je rappelle que vous êtes franchises Sveltéo à Sarreguemines et Saint-Avold et que l’actualité de ce réseau est à retrouver notamment sur les sites Franchise Magazine et AC Franchise.

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