Fermer
Secteurs / Activités

      Rejoindre un réseau : des franchiseurs témoignent

      Quels conseils pourriez-vous donner à un porteur de projet qui hésiterait à se lancer dans votre activité ? Quatorze franchiseurs ont répondu à nos questions : voici leurs témoignages.

      L’intégralité de ces interviews sous forme de podcasts est à retrouver ici

      Luigi Vernhettes, Directeur adjoint, PPF (Préservation du Patrimoine Français)Luigi Vernhettes, Directeur adjoint, PPF (Préservation du Patrimoine Français)

      Mon conseil serait de saisir l’opportunité. En effet, avec un marché puissant et une méthodologie de distribution comme la nôtre, cela représente une opportunité qui ne viendra pas frapper cinquante fois à votre porte. Il faut savoir se lancer et battre le fer tant qu’il est chaud.

      Maxime Gérard, fondateur, Cuisines Venidom

      Maxime Gérard, fondateur, Cuisines VenidomLe mieux serait de prendre contact avec nous et de venir à notre siège social pour participer à une journée découverte et voir notre camion-magasin. Nous ferons un focus sur les chiffres du marché ainsi que sur la rentabilité économique. Nous vous proposerons un prévisionnel gratuit et sans engagement via notre cabinet d’experts-comptables partenaires, qui étudiera la possibilité de devenir franchisé. Il s’agit d’un beau métier qui nous permet, sans magasin ni salarié, de concevoir et de vendre des projets qui vont changer la vie de nos clients.

      Sébastien Krupski, Directeur de la franchise, CBD.fr

      Sébastien Krupski, Directeur de la franchise, CBD.frMon conseil serait de ne pas se fier aux côtés un peu flous et obscurs de la législation. Nous mettons un point d’honneur à ce que nos produits aient une traçabilité infaillible pour que tout soit au plus clair. Nous apportons à nos franchisés une aide juridique et nous sommes prêts à faire de CBD.fr le n°1 sur le marché du CBD dans les cinq à dix prochaines années.

      Fabrice Gillet, Président fondateur, Quality Piscines

      Franchise Quality Piscines Fabrice Gillet

      Si ce porteur de projet souhaite changer d’activité et avoir un métier qui a du sens, cela correspond parfaitement à ce que nous faisons. Nous apportons à nos clients un service qui a du sens, et ça c’est très important. Deuxièmement, il doit se faire sa propre idée du métier en venant à nos journées découvertes, durant lesquelles il va pouvoir découvrir notre univers avec tous ses aspects financiers, économiques et commerciaux. Dès lors qu’il aura fait cette démarche, je suis convaincu que si le concept l’a séduit, il n’aura aucune crainte à signer avec notre réseau.

      Romain Odano, Directeur réseau, Nestenn

      Romain Odano, Directeur réseau, NestennSi quelqu’un souhaite se lancer dans l’immobilier, je lui dirais de le faire car nous sommes l’un des rares marchés de besoin : en effet, nous avons tous besoin de nous loger. Pour le choix de l’enseigne en tant que tel, il faut surtout rencontrer les réseaux et déterminer quel va être l’élément décisif. Cela peut être l’environnement de marque, la capacité d’innovation ou simplement l’accompagnement humain. Nous avons très rarement des candidats qui se renseignent uniquement chez Nestenn, vous vous en doutez bien, mais ils se sentent mieux chez nous quand ils viennent. Il faut donc rencontrer les réseaux, les analyser et ne pas s’intéresser qu’aux coûts. Car la vie d’un franchisé ne se résume pas simplement à un contrat de franchise : c’est une aventure humaine avec un encadrement, et je pense que c’est ce qui doit être priorisé.

      Antoine Barat, fondateur, Eat Salad

      Antoine Barat, Fondateur, Eat SaladMon premier conseil est déjà d’être convaincu du produit, pour ensuite être convaincant auprès de tout son réseau d’experts et de tout son écosystème. Ensuite, il faut analyser avec énormément d’attention l’ambition du partenaire franchiseur pour s’assurer que tout le monde va dans la même direction, afin de partager le profit et de saturer au plus vite son marché. J’ai aussi envie de donner comme conseil de prendre le temps, car on ne prend jamais de bonnes décisions dans l’urgence. Il faut bien analyser la structure du franchiseur, voir si elle est en capacité de délivrer les services qui sont promis et si le franchisé, en contrepartie, est capable de respecter ses engagements dans le cadre d’une relation gagnant-gagnant qui dure dans le temps.

      Stéphane Haug, Directeur du développement, Attila

      Stéphane Haug, Directeur du développement, AttilaNous sommes sur un marché assez conséquent et peu structuré avec une demande d’investissement qui est relativement modeste, au regard de toutes les autres franchises qui peuvent exister en B2B ou en B2C. Nous n’avons pas de stock à gérer et très peu de factures à éditer par mois, et nous nous adressons à des professionnels. Le seul point de vigilance qu’il faut avoir, c’est que quand nous ouvrons une agence, l’activité ne démarre pas le jour même : il y a une phase d’amorce qui va prendre environ deux ou trois mois. Par ailleurs, dans la mesure où elle permet de prolonger la durée de vie des toits, notre activité a une vertu écologique car nous allons moins solliciter les ressources naturelles et prolonger la durée de vie des matériaux en générant moins de déchets. Sachant que le bâtiment est probablement l’activité qui génère le plus de déchets aujourd’hui en Europe.

      Jean-Christophe Peron, Sales Manager, Winsol

      Jean-Christophe Peron, Sales Manager, WinsolIl est tout à fait compréhensible d’hésiter. J’invite chaque candidat à venir discuter de son projet et à découvrir Winsol, nos produits ainsi que notre philosophie. C’est essentiellement une histoire d’hommes, donc n’hésitez pas à vous joindre à nous.

      Christelle Molteni et Aline Gilbert, co-gérante et fondatrice, Les Services d’Aline

      Aline Gilbert et Christelle Molteni, Fondatrice et Co-Gérante, Les Services d’Aline
      Christelle Molteni, Co-Gérante, et Aline Gilbert, Fondatrice, Les Services d’Aline

      Il est faut réellement oser, tout du moins de se donner l’opportunité d’examiner le projet et d’observer toutes les opportunités qui existent bel et bien dans chaque zone touristique. Toutefois, nous privilégions uniquement les forts bassins touristiques, afin que le potentiel corresponde bien aux ambitions de chaque franchisé. Et nous serons là pour l’accompagner.

      Angélique Gascoin, PDG, L’Onglerie

      Angélique Gascoin, PDG, L’OnglerieDans ce métier, il faut bien évidemment avoir une passion pour l’esthétique et une passion particulière pour la beauté des mains, la beauté des pieds et des ongles. Mais avant tout, il ne faut pas avoir peur de se lancer, de réaliser ses rêves ou de saisir ces opportunités qu’on peut avoir dans la vie, parce que n’est pas toujours facile de passer le cap. Aujourd’hui, grâce à la franchise, je pense qu’on est moins seuls pour se lancer puisqu’on a un très bel accompagnement par le franchiseur. Donc je dirais : laissez-vous porter et surtout osez. Osez vous lancer dans l’entrepreneuriat, c’est vraiment une super aventure.

      Malik Sediri, Directeur développement, Biocoop

      Malik Sediri, Directeur développement, BiocoopMon premier conseil, puisque nous sommes une coopérative, serait de rappeler que « seul, on va plus vite, mais ensemble, on va plus loin ». Je conseillerais également de s’entourer des bonnes personnes, d’avoir à ses côtés un architecte, un conseiller juridique, un expert-comptable, et aussi une marque qui soit claire et transparente. Pourquoi ne pas visiter également des boutiques pour constater que les magasins Biocoop dégagent à la fois une atmosphère familiale et commune, mais aussi le supplément d’âme qui est apporté par le gérant et son équipe. Nous sommes un réseau de magasins indépendants, donc associés d’une coopérative nommée Biocoop. Il n’y a pas de multinationale, ni de forme d’investissement obscure, pas de milliardaire ou d’autres enseignes cachées sous un faux nez. Il n’y a pas non plus de boutiques en propre : chez nous, ce sont des sociétaires qui travaillent pour faire le lien entre les producteurs et les consommateurs. C’est un projet qui existe de longue date, qui a du sens et qui va dans le bon sens.

      Nicolas Lopez, Directeur des services, CrediPro

      Nicolas Lopez, Directeur des services, CrediproAujourd’hui, beaucoup de gens souhaitent se lancer en franchise parce que c’est un modèle plutôt sécurisant. Chez CrediPro, nous proposons, en plus de la formation, une vraie animation de réseau, une vraie vie d’entreprise. Si vous avez un tempérament commercial ainsi qu’une aisance avec les chiffres, si vous souhaitez vous lancer en tant qu’entrepreneur et que vous avez ciblé la franchise comme le bon modèle pour vous, je vous conseille de nous contacter. La chance que nous avons, c’est qu’aujourd’hui, nous sommes assez sélectifs. Donc, si vous nous contactez, nous vous dirons assez vite si vous avez un profil qui peut correspondre à celui d’un franchisé CrediPro ou non.

      Frédéric Pastur, Directeur Général, Colombus Café & Co

      Frédéric Pastur, Directeur Général, Columbus Café & CoMon premier conseil serait de choisir un concept qui vous plaît, c’est-à-dire que vous devez avoir une certaine sensibilité pour le produit ou le service que vous allez vendre. Mon deuxième, c’est de bien comprendre que devenir franchisé, c’est devenir un chef d’entreprise et être entrepreneur. C’est une nouvelle vie, qui commence très tôt le matin et qui finit très tard le soir. Il faut être en contact avec ses équipes et ce, encore plus qu’avant, compte tenu des difficultés à recruter et à stabiliser les équipes que l’on rencontre aujourd’hui dans tous les secteurs d’activité. C’est vraiment devenu un levier qui fait la différence dans la réussite des franchisés. Ensuite, il faut être bien conscient des choix que l’on fait. En franchise, il y a un accompagnement, un concept, une marque, une notoriété, un travail qui est fait sur les équipements, le marketing, les achats, la logistique, les approvisionnements… Mais il faut aussi être conscient qu’on va devoir accepter ces choix du franchiseur. Car chacun a sa partie à jouer, et c’est quand chacun joue bien son rôle que l’on réussit, que l’on est épanoui dans ce qu’on fait au quotidien. Donc, il faut bien choisir le produit, être conscient des règles du jeu de la franchise, de ce qu’on est en droit d’attendre du franchiseur et de ce le franchiseur est en droit d’attendre du franchisé.

      Guillaume Vandevelle, Responsable Développement, Caséo

      Guillaume Vandevelle, Responsable développement, CaséoLe premier élément, c’est que nous sommes effectivement sur un marché très porteur. Même si le neuf aujourd’hui n’est plus aussi porteur, la rénovation le reste très fortement. Si on prend uniquement les habitations d’avant 1980, ce sont plus de 200 millions de fenêtres qui restent encore à changer sur le marché, sachant que chaque année, on en change à peu près 6 à 7 millions. Donc nous avons encore au moins quelques années de travail devant nous. Sans compter les habitations des années 1980-1990 que l’on commence à rénover, et dont le marché est pléthorique. Nous avons d’autres marchés qui fonctionnent très bien, comme celui de la cuisine, qui n’a pas aujourd’hui en France la maturité qu’il peut avoir sur certains marchés européens, comme l’Allemagne ou l’Italie. Ou encore le marché de l’extérieur, de l’outdoor, des pergolas, des stores, qui est en pleine explosion.

      Demander une
      documentation

      Pour plus d'informations sur PPF

      Recopiez le mot dans le champ ci-dessous :

      Je suis intéressé par la franchise PPF