Le réseau Envido, qui développe, en concession, des cabines d'aquabiking individuelles, mise sur la technologie pour fidéliser ses clientes.
L’enseigne d’aquabiking Envido, créée à Saint-Mandé (94) en septembre 2012, a ouvert sa dernière unité il y a quelques semaines, à Montrouge (92). Le réseau regroupe aujourd’hui quatorze implantations, opérationnelles ou « en cours d’ouverture », dans tout l’Hexagone. Il espère en compter une vingtaine d’ici la fin 2013, puis passer à un rythme de 15 à 20 ouvertures de centres par an.
« Nous avons voulu développer des machines très performantes, proposant des prestations variées et de qualité, afin que les clients ne se lassent pas, explique Ayrald Berthod, président de l’enseigne. Cette sophistication technologique repose en particulier sur trois éléments. Contrairement à des vélos classiques, la hauteur de la selle est fixe, afin d’être toujours en face des buses, et c’est le pédalier qui se règle en hauteur. Cela garantit un positionnement parfait, quelle que soit la taille des clients. Ensuite nous avons mis au point un système de bras articulé, permettant de profiter de l’effet de balnéothérapie sur 360 °, même au niveau des portes. Enfin nos appareils sont équipés de pompes électroniques réglables, qui permettent de profiter de 12 programmes différents, pilotés par la clientèle et modulables en termes de puissance« .
Au-delà de ces aspects, l’enseigne réfléchit déjà à l’évolution de son activité, dans trois à quatre ans, en fonction de la demande. Parmi les pistes envisagées : massage hydraulique mais aussi activités complémentaires comme des soins anti-âge. Envido, dont 95 % de la clientèle se compose de femmes, revendique un chiffre d’affaires allant de 250 000 à 270 000 euros en moyenne, après un an d'activité, pour un centre de 90 à 110 m² équipé de 5 machines. Ce qui permet, selon la tête de réseau, d’amortir l’investissement d’une implantation sur quatre ans et demi.
