La chaîne d'opticiens du groupe GrandVision aura ouvert plus de 30 nouveaux magasins franchisés sur l'ensemble de l'année 2013. Sur les trois premiers trimestres, l'activité a bondi de 5 % à surface comparable.
En dépit d’« un contexte économique délicat », La Générale d’Optique semble partie pour réaliser un solide exercice 2013. « Nous aurons ouvert plus de 30 magasins en franchise cette année avec un mix de nouveaux partenaires et de franchisés développant un 2ème ou un 3ème point de vente, explique Thierry Lucasson, directeur de la franchise. Cela est révélateur d’une vraie confiance autant de la part de ceux qui décident de commencer l’aventure avec nous, que de ceux qui souhaitent continuer de développer notre marque. »
Avec 450 points de vente intégrés et franchisés sous enseigne, La Générale d’Optique, développée dans le giron du groupe GrandVision (GrandOptical, Solaris…) et connue pour son positionnement prix (« la fin des lunettes chères »), s’impose comme le n°5 des chaînes d’optique en nombre de magasins, derrière Optic 2000, Krys, Atol et Alain Afflelou.
Croissance numérique et innovation
« Nous gagnons des parts de marchés en volume mais également en valeur puisque notre chiffre d’affaires en magasins comparables est en progression de plus de 5 % sur les trois premiers trimestres, indique Thierry Lucasson. Nos résultats sont d’abord le fruit d’une politique commerciale différenciante suivie par tous, succursalistes et franchisés. Nous pratiquons notamment des prix tout compris et sommes les seuls à faire choisir aujourd’hui la deuxième paire sur l’ensemble de notre offre optique, ce qui colle complètement aux attentes des consommateurs. »
S’agissant des perspectives pour 2014, la direction indique vouloir conserver son rythme d’expansion soit une trentaine de projets annoncés. « Nous devons également imaginer notre politique commerciale de demain, innover et développer des nouvelles offres attractives pour le consommateur et rentable pour nos partenaires franchisés. » En franchise, La Générale d’Optique s’adresse à des opticiens diplômés et préconise un apport personnel minimum de 80 000 euros. Le concept s'implante principalement en centre commercial et en zone d'activité commerciale, plus rarement en centre-ville.