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      La Côte et l’Arête, Benoît Chambon
      4 min

      Retrouvez l’interview de Benoît Chambon, Co-fondateur de l’enseigne La Côte et l’Arête.

      Cet échange a été réalisé avec Vincent Pompougnac, lors du salon de la Franchise en mars 2022.

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      Sommaire

        Benoît Chambon, bonjour. Vous êtes le co-fondateur du réseau La Côte et l’Arête.

        Est-ce que vous pouvez nous présenter brièvement votre enseigne ?

        La Côte et l’Arête est une enseigne de restauration traditionnelle à base de cuisine fait maison et 100 % produits frais.

        Quelle est l’actualité du réseau en 2022 ?

        L’actualité est dynamique à l’image de la restauration. On vient de vivre 2 ans un peu difficiles, mais aujourd’hui, il y a un entrain autant de la part des clients, et on ressent ça justement au niveau des candidats la franchise.

        Quand estimez-vous qu’un franchisé La Côte et l’Arête a réussi ?

        Quand il arrive à organiser son quotidien, à vivre de quelque chose que nous on appelle « la passion du restaurateur » mais en même temps aussi à gérer son entreprise et à avoir justement ce quotidien, qui est épanouissant de gérer une entreprise mais dans un secteur d’activité qui nous plaît et qui est vraiment agréable au quotidien à travailler, vu qu’on est là pour donner du plaisir aux clients. C’est vrai que le concept de La Côte et l’Arête est quand même de la restauration traditionnelle à base de produits frais et cuisine maison. La satisfaction client est très importante et au rendez-vous, ça donne d’autant plus de sens à notre travail au quotidien.

        Quand pensez-vous qu’un franchisé estime de son côté avoir réussi ?

        Je pense de la même manière, je pense qu’il attend l’épanouissement au quotidien pour vivre de sa passion, de son métier mais aussi apprendre à gérer son entreprise. C’est le but et c’est ce qu’on vend.

        Est-ce que le digital a pris plus d’importance dans votre activité ces derniers mois ?

        Oui, par rapport à ces derniers mois, on va dire ces dernières années. Ensuite, les évolutions et les tendances qui s’opéraient déjà sur lesquels on n’est pas trop allé, parce qu’on trouvait que le digital n’était pas cohérent forcément avec la restauration traditionnelle, on était quand même toujours avec la carte papier. Il y avait toujours des codes dans la restauration traditionnelle et c’est vrai que le digital permet plus de maniabilités dans l’approche du travail, de l’organisation, du rapport aux clients et le covid ayant poussé tout ça, naturellement ça nous a permis de digitaliser. On ne digitalisera jamais une cuisine, un service et manger une bonne entrecôte, ça c’est limite.

        Quelle valeur accordez-vous à la satisfaction des clients de votre réseau ?

        Le client aujourd’hui pour nous est le fer de lance de la restauration, de notre enseigne. On fait vraiment attention à l’expérience client et le client et on va dire au milieu de toutes nos pensées, de toutes nos réflexions, on pense à lui et qu’à lui et on est toujours tourné vers le client. La satisfaction du client, la fidélisation, le contact, c’est quelque chose qui fait partie de notre ADN.

        Pour finir, si j’étais un candidat, qu’est-ce que vous pourriez me dire pour me convaincre de rejoindre le réseau La Côte et l’Arête ?

        Je lui dirai de se poser les bonnes questions et de réfléchir surtout à sa sensibilité en tant que client. On le voit sur le salon et puis même on a différents secteurs d’activité en franchise, il y a des choses qui peuvent moins nous parler que d’autres et je pense que la restauration a cet avantage là, pour un entrepreneur on peut se mettre à la place du client, on peut y amener sa sensibilité pour justement savoir quel est le bon choix à faire dans la pérennité du concept que l’on choisit. Aussi c’est une affaire d’Hommes parce que je parle des clients mais il y a l’humain avant tout, le client, le franchisé, les salariés, tout le monde et il y a nous, on a besoin de se convaincre mutuellement déjà. Ensuite, c’est d’être sûr que l’enseigne est en adéquation avec les tendances du marché et saura évoluer avec celles-ci et je pense qu’on y correspond quand même pas mal.

        Benoît Chambon, je vous remercie.

        Merci à vous, au revoir !

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