Se développer d’abord dans sa région de prédilection. Voilà le plan de développement du tout jeune franchiseur du Sud Est, Carlance, spécialisé dans les centres d’esthétiques sans rendez-vous.
A l’origine de la société on trouve une esthéticienne mariée à un entrepreneur, Madame et Monsieur Estre. En 2001, la jeune femme ouvre son premier centre d’esthétique sous le nom de Beauté Plus afin de proposer du « sans rendez-vous » aux habitants de Vienne (38). Après la naissance de leur fille, Carla, la couple Estre décide de changer le nom de leur boutique afin de devenir Carlance.
En 2003, un deuxième centre d’esthétique verra le jour. Un an plus tard, le couple se rapproche de Jonathan Dahan, commercial de formation et teste avec lui le premier contrat en franchise. Le petit réseau prend de l’envergure et il faut s’organiser. « Fin 2006, nous avons décidé de fusionner nos deux sociétés explique Jonathan Dahan devenu depuis directeur du développement. De cette fusion, est en train de naître un véritable franchiseur sous le nom d’Accance qui est propriétaire du nom, de l’enseigne, de la centrale d’achat et du système informatique. L’avantage de notre association c’est que dans notre équipe d’entrepreneurs nous avons madame Mestre qui a choisi la marque Decléor mais qui en tant qu’esthéticienne surveille les protocoles de soins».
Aujourd’hui le réseau Carlance compte 8 unités dont 2 franchises installées sur des surfaces d’au minimum 90 m² dans des zones de chalandise de 20 à 25 000 habitants. En ce moment, l’équipe peaufine son plan de communication afin de faire parler d’elle dès septembre. Deux nouveaux instituts devraient voir le jour d’ici à 2008. Après 2 ans d’exercice, un centre réaliserait en moyenne 170 000 euros de chiffre d’affaires pour un investissement initial hors pas-de-porte allant de 60 à 80 000 euros. D’ici à 2013, Carlance espère procéder à 80 ouvertures