Challenger du marché de la mode masculine avec ses 80 magasins, la marque-enseigne agrandit son réseau à raison de cinq à dix ouvertures annuelles.
Carnet de Vol continue de partager ses dressings avec ses partenaires. « Le recrutement d’affiliés, en parallèle d’un réseau intégré de succursales, a toujours été au cœur de notre stratégie« , explique Nathalie Rousseau, la directrice développement de la chaîne de prêt-à-porter masculin basée à Villeneuve-Loubet en PACA. La griffe, qui a soufflé ses 25 bougies l’an passé, compte aujourd’hui 80 boutiques en France dont une trentaine exploitées par des commerçants en commission-affiliation.
A raison de cinq à dix inaugurations annuelles, Carnet de Vol doit atteindre, idéalement, 120 à 130 adresses dans l’Hexagone, des boutiques de 80 à 100 m² en emplacement n°1 de centre-ville ou en centre commercial dans des villes de plus de 50 000 habitants. « L’objectif est notamment de renforcer la visibilité de l’enseigne sur toute la façade ouest et dans le Nord« , détaille la dirigeante. En termes de chiffres d’affaires, les prévisionnels moyens sont de l’ordre de 5 000 € du m².
Carnet de Vol (15 000 euros de droit d’entrée) s’adresse à des hommes et des femmes passionnés par la mode et la vente, avec une expérience commerciale, idéalement dans le textile ou l’équipement de la personne. « Ouvrir une boutique permet de devenir son propre patron et de se réaliser dans un métier de passion et à moindre risque puisque tout le stock et le réassort de marchandises sont assurés par l’enseigne ».
Positionnée moyen-haut de gamme, au-dessus d’opérateurs mass market tels que Celio et Jules, Carnet de Vol propose des collections accessibles et créatives alliant confort, séduction et modernité à destination d’actifs urbains CSP+ âgés de 35 à 50 ans. En magasin, une chemise coûte 50 €, un pull 60 € et une paire de chaussures, 90 €.