Après avoir relancé son concept, la franchise Chocolaterie Monbana veut aborder une nouvelle phase de son développement.
Entreprise familiale française créée en 1934, Monbana a accumulé une expertise reconnue dans la fabrication (aujourd’hui assurée sur trois sites de production) des spécialités chocolatières « made in France » : chocolat en poudre, chocolat à cuisiner, confiseries, créations de chocolat à croquer, tablettes bonbon, boissons gourmandes, kits dessert, chocolats pétillants, etc.
En 2009 la Chocolaterie Monbana a ouvert sa première boutique à Laval. Puis un développement en franchise a été lancé à partir de 2012 sur la base d’un concept proposant tout l’univers du chocolat : chocolats fins, confiseries, boissons chocolatées, chocolat à cuisiner, à offrir. Il s’assimile à un véritable « concept- store » sur une surface de 120 à 150 m², destiné à être implanté en périphérie de ville de plus de 10 000 habitants, dans les zones commerciales thématiques (arts de la table, loisirs, etc.). Idéalement, il faut 2 personnes pour animer un magasin, avec un renfort sur les périodes de Pâques et Noël.
Depuis 32 boutiques ont vu le jour, dont 20 animées par des partenaires. Et l’enseigne affiche son ambition d’atteindre, d’ici 2020, la cinquantaine de points de vente. En 2017, cette expansion passera en priorité par l’incitation des franchisés à ouvrir une seconde boutique. Et l’an prochain elle se traduira par une relance plus active du développement avec une dizaine d’ouvertures en moyenne par an.
« Après une première phase de développement, explique Xavier Detruit, fondateur du cabinet Optimum Franchise et aujourd’hui directeur général de Monbana, le réseau avait besoin d’une relance. C’est ce à quoi nous travaillons depuis un an. Nous avons renforcé les synergies, restructuré les équipes commerciales et marketing, initié de nouveaux produits ».
Pour continuer à grandir, l’enseigne recherche des entrepreneurs dynamiques, ayant le goût du contact avec la clientèle comme pour les produits de qualité. Elle privilégie un profil double, car il faut être à la fois un commerçant sédentaire, capable de conseiller et de vendre en boutique et aussi un commercial pouvant aller sur le terrain pour démarcher les entreprises et notamment les CE de son secteur. Cette dernière activité génère en effet en moyenne 30 % du chiffre d’affaires des unités.