Depuis 2013, SOS Bricolage déploie en France son réseau de bricoleurs professionnels indépendants. L’enseigne vise à terme 300 à 400 intervenants sur le territoire.
Nombreux sont les bricoleurs de talent en France. Nombreux aussi ceux d’entre nous qui ne trouvent pas le temps, où n’ont pas les compétences, pour poser une tringle à rideaux, changer une poignée de porte, tailler une haie ou encore nettoyer leur terrasse. C’est pour offrir aux premiers un métier, et aux seconds une réponse à leurs besoins que Jean Lourdin a créé SOS Bricolage il y a 8 ans.
En 2009, cet ancien de Bouygues, passé par la direction générale de la franchise Moving, saute le pas de la reconversion et commence par tester le concept en solo dans son département des Yvelines. Le temps de sonder le marché et de s’assurer, raconte-t-il, que la demande était bien là. A compter de 2013, le fondateur de SOS Bricolage commence à recruter ses premiers entrepreneurs indépendants partout en France. Ils seraient aujourd’hui une petite centaine en exercice.
Un ticket d’entrée à 5 000 euros
Pour 40 euros de l’heure, les intervenants indépendants du réseau bricolent, réparent, jardinent, débarrassent, nettoient ou rangent pour le compte de particuliers, mais aussi d’entreprises : agences immobilières, syndics, commerces, TPE, PME, professions libérales… Mais n’interviennent pas sur des travaux plus importants, qui relèvent eux des compétences d’artisans de la rénovation de l’habitat.
SOS Bricolage qui, à terme, vise 300 à 400 intervenants indépendants en France à terme, développe son concept, souligne Jean Lourdin « dans un esprit social et solidaire ». Par exemple, précise-t-il, « le kit initial est positionné à 5 000 € HT alors que sur les portails de la franchise, il est beaucoup plus courant de trouver des concepts à 20 000€ ou 30 000 € ».
