Nouveau concept de parc de jeux couvert pour enfants, Happy City lance son développement en concession.
Six ans après l’ouverture de son site-pilote à Villefranche-sur-Saône (Rhône), Happy City veut développer un réseau et s’ouvre à la concession. C’est début 2012 que ce concept de parc de jeux couvert de nouvelle génération a été créé par Isabelle et Erwin Van Dijk, déçus par les parcs existants qu’ils fréquentaient alors pour leurs propres enfants en bas âge. L’aventure est un succès et le chiffre d’affaires du parc n’a depuis cessé de croître.
Happy City se veut « le plus grand parc de jeux pour enfants de Rhône-Alpes ». Il s’agit en effet d’une implantation couverte, chauffée et climatisée, dont la taille est comprise entre 1 600 et 2 000 m². Le centre est ouvert les mercredis, samedis et dimanches, et bien sûr tous les jours en période de vacances scolaires. Il propose plusieurs espaces : pour les enfants de 1 à 3 ans, pour ceux de 3 à 12 ans, ainsi qu’un secteur dédié aux anniversaires, un espace VIP (Very Important Parents) insonorisé avec wifi, magazines et accès à divers jeux gratuits. Enfin, un snack propose une restauration rapide et qualitative à un prix abordable. Quant aux décors, de style « Ile au Trésor », ils ont été conçus pour émerveiller les enfants dès leur arrivée.
La grande taille du parc lui permet d’offrir un large choix d’attractions et une grande diversité de jeux : grand labyrinthe, bateau pirate accro-filets, pont de singe, petite tyrolienne, trampolines géants, voitures électriques, autos-tamponneuses, terrain de foot/basket, maxi-toboggan gonflable, luge d’été, mur d’escalade, aire de Lego géants, parcours funambule, piste d’animation, etc. Des animations régulières sont organisées. Et, bien sûr, la propreté et l’hygiène doivent être irréprochables. Pour rejoindre le réseau, il faut prévoir un apport personnel de 100 000 euros pour un investissement global de 350 000. Le chiffre d’affaires réalisable après deux ans d’activité est, selon la tête de réseau, de l’ordre de 500 000 euros.
