S’appuyant sur une activité qui a le vent en poupe, Le Grand Panier Bio veut poursuivre son expansion.
Le Grand Panier Bio est une entreprise familiale qui a ouvert son premier magasin il y a plus de 20 ans et a ensuite initié, à partir de 2009, un développement en franchise, en mettant en avant le service au client et la modernité. Classiquement, les points de vente proposent une offre de fruits et légumes, d’épicerie en vrac, de produits frais, surgelés, cave à vins, ainsi qu’un rayon beauté-santé.
L’enseigne regroupe à l’heure actuelle 15 unités et elle entend bien poursuivre son expansion, en profitant du contexte actuel qui très favorable à la filière bio. Une enquête réalisée par l’Agence Bio vient en effet tout juste de révéler que près de sept Français sur dix ont acheté des produits biologiques pendant le confinement, et que 8 % sont de nouveaux acheteurs. La progression enregistrée est plus marquée au sein des catégories socio-professionnelles les plus modestes (11 %), ce qui confirme un élargissement de la clientèle. Une prochaine ouverture est ainsi annoncée à Thiers (Puy-de-Dôme).
Le concept s’adapte au budget et au projet de chacun. Il peut en effet se décliner selon plusieurs formats. Avec 50 000 euros d’apport, on peut créer un magasin de 100 à 200 m², selon une formule ne comportant pas de redevance. Avec un montant plus élevé, entre 120 000 et 150 000 euros, on peut envisager un point de vente s’exprimant sur 300 à 800 m² avec un service drive et un rayon boucherie en option. La redevance sera alors de 1,7% du chiffre d’affaires HT. Quant à l’investissement global, il s’échelonne, selon le cas, de 110 000 à 500 000 euros.
L’animation d’un magasin spécialisé dans le bio demandant de bonnes connaissances des produits, de la réglementation, etc., l’enseigne attache une grande importance à la formation et à l’accompagnement de ses franchisés pour leur donner le maximum de clés pour réussir. Le Grand Panier Bio recherche en priorité des personnes souhaitant s’engager en couple ou en tant qu’associés. Une sensibilité à la nature et aux valeurs du bio est évidemment primordiale. Mais ce n’est pas suffisant pour réussir. À la fois managers et commerçants, ils doivent posséder un bon sens de l’organisation et du conseil.
