Le parcours des futurs coaches dietplus a été élaboré pour permettre à chaque profil d’accéder à une mise en condition complète. Pour ce faire, chacun bénéficie d’une immersion dans un centre école.
Rencontre avec Violaine Fleury (dietplus Flers) et Valérie Bard-Predki (dietplus Amiens-Centre), toutes deux « coachs école ».
Que pensez-vous du fait que dietplus ait créé des centres écoles parmi son réseau ?
Violaine Fleury : « C’est un concept complémentaire à la formation mais qui s’avère indispensable. Le futur franchisé passe 2 jours en observation, durant lesquels il assiste aux rendez-vous et découvre le fonctionnement quotidien d’un centre. Après cela, il est formé durant 15 jours (NDR : au centre de formation du réseau à Paris) puis revient 3 jours chez nous. A cette occasion, il peut faire des rendez-vous, encaisser, veiller à l’agencement du centre… C’est l’occasion pour lui d’appliquer ce qu’il a vu en formation, épaulé par un coach aguerri. »
Valérie Bard-Predki : « Après la formation, le coach a hâte de passer à l’action ! Il veut mettre à profit ce qu’il a appris et prendre la main pour se confronter à la réalité du terrain. A cet instant, soit il est conforté dans ses acquis, soit il prend conscience de certains points à approfondir. Cela permet aussi de dédramatiser certaines appréhensions : c’est un premier galop d’essai avant de se lancer dans le grand bain ! »
Quel est le regard de vos clients ?
V.F. : « Il faut admettre que les clients acceptent toujours bien cet observateur, et c’est une chance pour nous. Jamais nous n’avons d’opposition. Au contraire, ils jouent le jeu volontiers. »
V.B.-P. : « Ce rôle de centre école me donne une crédibilité supplémentaire devant la clientèle. »
Que vous apporte votre statut de centre école ?
V.F. : « J’aime évoluer dans mon métier et former les autres : cela me permet donc de transmettre ce que j’ai moi-même reçu. Il faut savoir que dietplus travaille sans relâche pour la réussite de ses coaches, donc aider la franchise à se développer en retour m’est apparu tout naturel ! En fait, même si c’est une charge de travail supplémentaire pour nous car il faut être à l’écoute, rassurer, répondre aux questions, je vois notre statut de centre école comme un privilège ! Cela nous demande d’être parfaits : il faut conserver un certain niveau de connaissances, connaître et respecter les protocoles de façon optimale… Mais c’est également ce qui nous permet de conserver un niveau d’excellence, qui fait la réussite du centre. »
V.B.-P. : « Il s’agit de transmettre notre savoir-faire. Cela casse notre routine, et nous oblige à être plus dans le détail, aller plus en profondeur dans notre façon de faire. De fait, on maintient notre centre à un degré d’exigence élevé et cela est bénéfique pour notre commerce et notre satisfaction personnelle. En bref, c’est tout bénéf ! »