Jeune concept de bar proposant bières et vins en libre-service, Monsieur le Zinc veut se déployer dans l’Hexagone en licence de marque.
Monsieur Le Zinc a été créé par quatre associés, dont Albéric Poynard, aujourd’hui responsable du développement de l’enseigne. Reprenant une idée de bar à bières en libre-service découverte en Espagne et estimant que l’attente au comptoir dans les bars parisiens classiques était trop longue, ils ont ouvert la première unité en mars 2015 à Paris, dans le quartier Odéon. L’année suivante, un second établissement a vu le jour à Pigalle (Paris 9e), celui de Bonne-Nouvelle (Paris 10e) a suivi. Le développement du réseau en licence de marque a été lancé en 2018 et deux partenaires ont déjà rejoint la jeune chaîne : à Rennes et à Paris 15e. Trois ouvertures sous licence sont programmées d’ici la fin de l’année 2019. Ensuite, à partir de 2020, entre 5 à 10 inaugurations sont espérées par an.
Monsieur le Zinc est un concept de bar urbain, branché et connecté, proposant, en libre-service, des bières, brassées en Alsace par Karlsbräu, des vins sélectionnés par un sommelier, ainsi que des shooters. Des tireuses à bières habillées en pompes à essence vintages ainsi que des machines de distribution de vins et de shots sont disposées à différents endroits du bar. Ils sont pilotés par un système informatique dédié. Une offre de snacking (croque-monsieurs au pain artisanal et planches mixtes) est également proposée. L’enseigne s’implante sur des locaux allant de 65 m² à 80 m2, avec deux types d’espaces : l’un équipé de tables hautes, permet d’accueillir la clientèle de passage ; l’autre plus intimiste, avec banquettes et poufs, est privatisable à la demande.
Pour fonctionner, un bar Monsieur le Zinc ne nécessite que la présence de deux personnes : un barman, qui supervise les lieux, oriente et conseille les clients Il est aidé par une autre personne présente uniquement pendant les week-ends. Au total la création d’une unité représente un investissement global d’au moins 250 000 euros.