J’ai aimé l’approche des franchiseurs m’encourageant à franchir le cap de l’entrepreneuriat. J’ai ainsi ouvert mon premier magasin en mars 2016.
Comment avez-vous connu la franchise Le Jardin des Fleurs ?
C’était en 2014, lors d’un forum pour l’emploi. J’avais 28 ans, un bon âge pour entreprendre car l’on est moins soumis à des contraintes, notamment sur le plan familial. Pour résumer, je voulais me lancer à mon compte et m’affranchir, ainsi, d’un cadre de travail hiérarchisé. J’ai ensuite creusé un peu plus pour mieux comprendre et découvrir l’enseigne, et j’ai aimé l’approche de ses dirigeants m’encourageant à franchir le cap de l’entrepreneuriat. J’ai aussi beaucoup apprécié les équipes au siège, qui véhiculaient des valeurs que je défends, et notamment la bienveillance à l’égard des porteurs de projet comme moi. J’ai ouvert mon premier magasin en mars 2016.
Quels éléments du concept vous plaisent particulièrement ?
L’univers du végétal, bien sûr, m’attire depuis de nombreuses années. Mais pas seulement. Ce que j’apprécie dans le modèle Le Jardin des Fleurs, c’est le côté « naturel » qu’il défend, par exemple, en voulant bannir, autant que possible, l’utilisation du plastique, y compris pour les emballages et les bulles d’eau, ces petits accessoires qui permettent de conserver les bouquets une fois ceux-ci confectionnés. Ce côté « défense de l’environnement » que revendique le réseau est notamment très apprécié des clients.
Comment se compose aujourd’hui votre activité ?
Je suis à la tête de trois points de vente, que je gère seul, et qui comptent au total treize salariés et apprentis. Le premier est implanté à La Teste-de-Buch, au bord du bassin d’Arcachon, sur 100 m² ; puis les deux autres sont situés à quelques kilomètres, à Pessac, dans le centre-ville. Ils s’étirent respectivement sur 85 m² et 60 m². Je les ai rachetés à un franchisé en 2018 car il partait en retraite. Bien que séparées de seulement deux kilomètres, ces deux unités sont très complémentaires et s’appuient, chacune, sur une clientèle fidèle. J’ajoute que je gère ces trois points de vente de la même façon, en y consacrant autant de temps. Ce qui est appréciable, avec ces trois unités, c’est de pouvoir bénéficier de tarifs avantageux auprès des fournisseurs en réalisant des achats groupés.
Comment se sont portées vos affaires au cours des récentes années ?
En 2020, une fois le confinement du printemps levé, nous avons bénéficié d’un net rebond sur le plan des ventes : la Fête des Mères 2020 fut notamment un gros succès. En ce qui concerne 2021, l’année s’est inscrite sur une tendance que je qualifierais de « favorable », avec une croissance de notre chiffre d’affaires par rapport à 2019, année référente si l’on ne tient pas compte de 2020. Aussi, je retiens deux relais de croissance sur lesquels nous continuons de nous appuyer : d’une part, notre site internet, dont les ventes ont doublé en 2021 par rapport à 2020 ; d’autre part, le succès que rencontre globalement en France le commerce de proximité. Depuis plusieurs mois, on sent une appétence forte des consommateurs pour ce format de distribution. Et pour nous, c’est tant mieux !