À 55 ans, Stéphane Muller relève le challenge de l’économie circulaire en devenant franchisé Cash Express
Ouverture des achats : 22 avril 2022
Ouverture de la mise en vente des biens d’occasion : Fin mai 2022
Doté d’une appétence pour l’économie circulaire et de compétences en tant que commercial, c’est assez logiquement que Stéphane Muller choisit Cash Express pour devenir son propre patron devenant franchisé. Afin d’allier l’utile à l’agréable, ce natif de Nancy souhaite mettre à disposition des toulousains des familles de produits inédites pour lutter contre l’inflation tout en montant en
gamme.
Depuis le 22 avril, cet entrepreneur s’est lancé pour challenge de sensibiliser les habitants de la
4ème ville la plus peuplée de France, et tout particulièrement les étudiants, aux produits reconditionnés avec une équipe jeune et dynamique.
C’est en hypercentre de Toulouse, dans un magasin de 90m2, que Cash Express a ouvert ses portes.
L’ouverture de ce site est aussi une belle occasion pour célébrer les 20 ans du réseau avec le nouveau concept axé sur la seconde vie des produits. Dans cette nouvelle aventure, Stéphane peut compter sur la motivation de ses deux jeunes collaborateurs en contrat de formation. Mais le franchisé pense déjà au futur : former ses partenaires afin qu’il puisse ouvrir plusieurs magasins et s’appuyer sur eux pour la gestion des sites.
PORTRAIT D’UN CHALLENGER ACCOMPLI PASSIONNÉ POUR L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE
Arrivé au Pérou en 1990 via son service national volontaire, il a passé 30 ans de sa carrière dans ce pays d’Amérique du Sud en tant que commercial. D’abord directeur des ventes pour plusieurs multinationales, puis directeur de la division hôpital pour une entreprise pharmaceutique, c’est en tant que conseiller commercial pour une ambassade qu’il découvre l’économie circulaire. En plus d’un parcours professionnel solide, c’est aussi un spécialiste confirmé du triathlon puisqu’il cumule à son actif 6 Iron man. Lors des 10 dernières années, en parallèle de son métier, ce compétiteur dans l’âme a développé une activité pour vendre du matériel sportif devenant ainsi autoentrepreneur.
Dans la continuité de son projet, Stéphane a préparé son retour en France tout en décidant de devenir un franchisé pour un réseau lié à l’économie circulaire. « J’ai d’abord cherché dans le sport et l’automobile, mais après réflexion j’ai choisi ce secteur car le marché est plus porteur. Mon choix s’est assez logiquement porté vers Cash Express car, en plus d’être l’un des leaders de son secteur, c’est aussi une enseigne avec de belles valeurs et défendant un concept dans l’ère du temps qui est l’économie circulaire. », a précisé Stéphane Muller. « J’ai été très impressionné par l’esprit d’initiative et l’accueil de Cash Express. Depuis le Pérou, j’ai démarré plusieurs visioconférences avec Arnaud Guérin dans le but de monter mon projet. J’ai proposé de m’implanter à Toulouse car ils n’y étaient pas présents et le réseau a validé mon choix. Dès lors, ils se sont attelés à la tâche pour faciliter grandement mon retour en France et m’accompagner dans ce projet. », a rajouté le franchisé.
3 NOUVEAUTÉS : LA CRÉATION D’UN RAYON LUXE, DES APPAREILS CONNECTÉS POUR SPORTIF ET LE RACHAT D’OR
En plus des familles de produits traditionnelles de Cash Express, Stéphane entend mettre l’accent sur certains rayons en commençant par l’ajout d’un rayon luxe avec de la maroquinerie et des bijoux. Dans la logique du secteur de l’occasion, le franchisé souhaite promouvoir le rachat d’or. Toujours en lien avec sa passion pour le sport, il désire aussi s’adresser aux athlètes et amateurs de sports en portant une attention particulière aux appareils connectés pour sportifs. Dans la promotion de cette dernière famille de produit, l’ancien coureur d’Iron Man a contacté les clubs de la région pour mettre ce service à leur disposition.
Les services de l’enseigne peuvent également répondre aux besoins des étudiants, dont on en compte plus de 100 000 dans la ville rose. “Je pense que Cash Express peut convenir à leurs nécessités car ils sont plus sensibles que la moyenne sur les sujets environnementaux. Côté économique, ils pourront revendre mais aussi acheter des produits permettant de s’équiper voire de monter en gamme à moindres frais.”, a conclu le récent franchisé.
