Après l’ouverture de deux nouvelles unités, la franchise Firmin communique leurs premiers résultats.
Avec l’ouverture de deux nouveaux magasins franchisés, les 19 et 21 octobre, Firmin confirme sa capacité à réaliser des magasins à faible coût, et donc avec des seuils de rentabilité abaissé. Avec peu d’apport (42 000 et 70 000 euros), les deux partenaires ont ainsi pu financer des magasins qui ont coûté 169 000 euros pour l’un et 212 000 pour l’autre.
Le premier franchisé, Bertrand Fernandez, est un ancien responsable commercial en meunerie de Seine-et-Marne. Il a été convaincu de rejoindre l’enseigne lorsqu’il a vu diminuer ses ventes de farine chez ses clients qui étaient des concurrents de Firmin, lors de l’ouverture de l’unité de Saint-Germain-sur-Morin (Seine-et-Marne). Il souhaitait par ailleurs retrouver ses terres natales et s’est installé à Montauban (Tarn-et-Garonne). Sans publicité, il a réalisé le jour de son ouverture un chiffre d’affaires de 700 euros TTC et a servi plus de 200 clients, pour un point mort situé à 493 euros HT. Après une semaine d’exploitation, son chiffre d’affaires frise déja les 1 000 euros TTC.
De son côté, Serge Zirafi, ancien directeur commercial dans la grande distribution dans le Gard, souhaitait lui aussi changer de région et a concrétisé son projet dans les Landes, à Aire-sur-l’Adour. Il a également réussi son ouverture avec un chiffre d’affaires de 521 euros TTC et 110 clients servis.
De bons démarrages qui sont en phase avec le reste du réseau puisque 90% des franchisés de la chaîne ont atteint leur point mort dès le premier jour. Ils réalisent après deux ans d’exploitation un chiffre moyen de 350 000 avec une marge brute de 76 % et servent environ 300 clients/jour. Les deux nouveaux points de vente confirment aussi le positionnement de Firmin en termes d’emplacement : les surfaces des magasins varient de 100 à 300 m² et ont un budget contrôlé (faible loyer, absence de droit d’entrée ou de droit au bail…) ce qui explique la rapidité avec laquelle le point mort peut être atteint. Et les unités s’implantent sur des zones de chalandise sous exploitées (où n’existent que des terminaux de cuisson ou petits artisans) et se partagent ainsi intelligemment le territoire avec les enseignes concurrentes.