L’enseigne omnicanale de vente de pièces automobiles et de pneus, 19 magasins dont 7 franchises au compteur, s’est fixé pour objectif d’atteindre une cinquantaine d’unités fin 2020.
Piècesetpneus.com accélère sa croissance. A la tête de 19 points de vente dont 7 franchises, et forte d’un « modèle économique éprouvé », l’enseigne connectée de vente de pièces, équipements auto et pneus amorce une phase de développement intensif, qui doit lui permettre d’atteindre la cinquantaine d’implantations en France dès la fin 2020.
Imaginé par des spécialistes du secteur, le concept a vu le jour en 2009 sous la forme d’un site de e-commerce, raccordé à des centres de montage. En 2011, ses fondateurs décidaient d’y ajouter des magasins à l’enseigne, en ouvrant en propre à Granville, Rennes puis Saint-Malo. « Il s’agissait d’affirmer haut et fort notre statut de commerçants de proximité », raconte Jacques Fouchet, Président de Piècesetpneus.com. Cinq ans plus tard, le modèle s’ouvrait à la franchise. Et aujourd’hui, sa bannière flotte sur 7 unités sous cette forme, à Nice, Agen, Rouen, Rezé, Brest, Nîmes et Épinal, ainsi que sur 12 succursales.
Une franchise accessible pour spécialistes de l’automobile
Le « web to shop » selon Piècesetpneus.com allie les avantages, tarifs et largeur d’offre, de l’e-commerce, aux atouts de la proximité, notamment en matière de conseils et de services. Les clients sont libres de passer commande en ligne ou en boutique puis de se faire livrer chez eux, dans un point relais ou dans le réseau. « Nos magasins sont idéalement implantés, sur 30 à 80 m², en périphérie d’agglomérations de plus de 50 000 habitants, Jacques Fouchet, Président de Piècest
même si dès 30 000 le modèle fonctionne. Ils comportent un espace d’accueil, une réserve pour les colis et éventuellement un bureau, mais pas de stock », détaille le responsable.
La franchise est ainsi accessible dès 35 000 euros d’investissement initial, dont 20 000 € de droit d’entrée (en fait utilisé comme budget pour la communication de lancement) et 15 000 € d’habillage et d’équipement. Le candidat doit connaître son territoire autant que le secteur automobile. « Le franchisé, véritable technico-commercial, travaille seul. Il est commissionné sur les commandes passées depuis sa boutique et sur les créations de comptes à son initiative. Son chiffre d’affaires, réalisé à 20 % auprès de professionnels et 80 % de particuliers (moyenne), peut atteindre 200 à 500 000 € après deux ans d’activité », indique Jacques Fouchet.