Créé en 1994, le réseau Camille Albane sait se distinguer grâce aux nombreux avantages qu’il confère à ses franchisés pour les aider à réussir leur salon. La franchisée Célestine Martineau nous raconte son aventure qui l’a poussé à choisir le réseau Camille Albane pour se lancer en franchise.
La révélation :
« Mon aventure dans l’univers de la coiffure a commencé lors du stage obligatoire en classe de 3ème. J’avais choisi d’effectuer le mien dans le salon de celle qui était ma coiffeuse depuis mes 5 ans et qui deviendrait plus tard une de mes mentors. Ce stage fut une révélation ! J’ai découvert ma vocation : être au contact des gens, les embellir extérieurement et, à travers ces moments d’échange et de détente, les aider à se sentir mieux intérieurement.«
Un parcours tout tracé ?
« J’ai poursuivi mon CAP chez la même coiffeuse. Ensuite, j’ai fait mon BP dans un autre salon mais l’expérience ne s’est malheureusement pas déroulée comme prévu, au point d’envisager de me reconvertir dans le sport où une belle opportunité de carrière se présentait. Contre toute attente, c’est mon père qui m’en a dissuadée, et j’ai finalement obtenu mon BP avec succès ! J’ai ensuite poursuivi avec un brevet de maîtrise dans le salon Camille Albane à Saint-Malo qui venait d’ouvrir. Là, j’y ai comme redécouvert mon métier en apprenant de nouvelles techniques et en développant un savoir-faire et un savoir-être spécifiques tout en côtoyant une clientèle diversifiée. Selon moi Camille Albane est une marque moderne et attentive.«
Devenir franchisé :
« Après mes études, j’ai été embauchée en CDI et suis devenue manager trois ans plus tard. J’ai occupé ce poste pendant deux ans avant de racheter le salon. Devenir franchiséen’était pas dans mes objectifs initiaux pour être honnête, car cela implique de gérer beaucoup plus de responsabilités qu’en tant que manager et que je voulais « simplement » m’occuper de mes clientes. Tant que j’aime ce que je fais pourquoi changer ? Cependant, ma patronne de l’époque m’a convaincue de saisir cette opportunité, estimant que j’en étais tout à fait capable. Et en y réfléchissant bien, je ne me voyais pas avoir une autre responsable qu’elle. J’ai donc sauté le pas et comme un joli signe, je suis devenue franchisée le jour où ma coiffeuse d’enfance partait à la retraite ! Aujourd’hui, je ne le regrette pas du tout, je suis toujours autant passionnée par mon métier et je m’imagine même avoir un salon supplémentaire. »
Le mot de la fin :
« Soyez motivé(e) ! C’est la clé. Être coiffeur(se) ou franchisé(e) d’un salon de coiffure demande d’avoir de la passion pour ce métier, de ne pas compter ses heures et de beaucoup s’investir. Mais avec de la motivation on y arrive !«
