Positionné sur ce marché depuis 2017, BodyHit est aujourd’hui leader sur l’électrostimulation en France.
Où en est le développement de votre réseau spécialisé dans l’électrostimulation ? Quels emplacements recherchez-vous en priorité pour implanter des clubs franchisés ?
BodyHit compte 128 clubs en France : 121 en franchise et 7 en propre. Nous prévoyons d’en ouvrir 70 sur les deux prochaines années.
Nous sommes basés à Paris et présents dans toute la France avec la moitié du réseau en Ile-de-France et l’autre moitié en province. Nous ne sommes pas suffisamment représentés dans le sud de la France et nous cherchons d’ailleurs à nous y développer davantage.
Notre stratégie de développement consiste à couvrir toutes les grandes villes : en effet, nous ne sommes pas encore présents dans des villes comme Toulouse, Dijon ou encore Clermont-Ferrand. Ceci étant dit, nous recevons parfois des demandes de prospects sur certaines zones via les réseaux sociaux, pour des séances de coachings sur des villes à moindre démographie.
Nous recherchons des emplacements en centre-ville, sur 70 m² au minimum et 100 m² au maximum, avec une devanture toujours vitrée et floutée, toujours en rez-de-chaussée.
Notre clientèle est principalement composée de femmes : en effet, nous proposons des séances de 20 minutes qui représentent l’équivalent de 4 heures de sport, donc cela convient bien à des personnes très actives qui n’ont pas de temps à consacrer au sport, entre leur vie professionnelle et leur vie de famille.
Quel est l’apport personnel à prévoir pour ouvrir un club BodyHit ?
L’investissement total à prévoir est de 130 000 € au maximum, dont 30 000 € d’apport personnel. En fonction du local, du loyer, de l’emplacement ou encore des travaux, ce ne sera pas le même point mort d’un club à l’autre. Outre le matériel d’électrostimulation, il faut financer toute la partie mobilier et l’aménagement du club, qui doit comporter une zone d’accueil pour que les clients puissent se poser, discuter… ; mais aussi une partie coaching, ainsi que des vestiaires et des douches.
Quels profils de franchisés recherchez-vous en priorité ?
Nous recherchons 3 profils : la personne en reconversion professionnelle mais également des coachs diplômés d’état et enfin des profils de type investisseurs.
Les passionnés du fitness et de la santé, ceux qui ont une expérience dans le secteur du fitness, ceux qui ont goût pour la gestion d’entreprise, ceux qui ont des aptitudes relationnelles notamment, tous ces profils feront d’excellents franchisés BodyHit.
Dans tous les cas, nous recherchons des franchisés motivés et engagés dans le succès de leur entreprise. Il est essentiel d’être prêt à consacrer du temps et des efforts pour développer son club et s’impliquer activement dans les activités de la franchise.
Comment avez-vous fait évoluer le positionnement de BodyHit sur le marché de l’électrostimulation ?
Sur le marché de l’électrostimulation, on trouve aujourd’hui beaucoup de clubs indépendants et peu de franchiseurs. Positionné sur ce marché depuis 2017, BodyHit est aujourd’hui leader sur l’électrostimulation en France.
Au départ, nos coachs utilisaient le matériel miha bodytec et depuis septembre 2022, nous avons souhaité davantage d’innovation et avons choisi le matériel Symbiont, avec qui nous avons une exclusivité sur la France.
Cette nouvelle technologie se distingue des autres acteurs du marché car elle délivre des informations personnalisées (fréquence cardiaque, calories…) et présente l’avantage d’être non filaire. Nous pouvons avec Symbiont créer des coachings très variés, proposer des coachings en extérieur et d’autres possibilités.
Nous innovons sans cesse et nous lançons cette année une appli pour que le client puisse recevoir des conseils nutrition, compter ses calories et même scanner les produits alimentaires en magasin pour savoir s’ils sont bons pour lui.