L’occasion est dans l’air du temps. C’est écolo et bon pour la planète. Nous sommes fiers, chez Easy Cash, de donner à la seconde main ses lettres de noblesse.
Dans quelles conditions avez-vous rejoint la franchise Easy Cash ?
Alors que j’étais professeur des écoles (mon premier travail), je venais prêter main forte à mon père, les mercredis et le week-end, au sein de son point de vente de Maurepas (78) qui fut, en 2010, le premier Easy Cash à ouvrir en région parisienne. Le métier m’a tout de suite plu. J’ai ensuite quitté l’Education Nationale pour rejoindre à plein temps l’affaire familiale, à 25 ans.
Fin 2012, nous avons ouvert un second magasin, dans le centre-ville de Saint-Germain-en-Laye (78), sur 90 m². Le décès de mon père, il y a cinq ans, a coïncidé avec les premières difficultés rencontrées par l’unité de Maurepas, que nous avons finalement liquidée, en mars 2020, juste avant le premier confinement.
Aujourd’hui, je suis toujours à la tête de cette unité de Saint-Germain-en-Laye. J’y emploie quatre salariés et deux alternants. Les affaires sont très bonnes : nous dépassons les 2 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel (avec une croissance de 6 % à 8 % par an).
La seconde main est-elle plus tendance que jamais ?
En tout cas, le secteur est très porteur. Jadis, on regardait un peu de travers les commerçants spécialisés dans les produits d’occasion. Ce n’est plus du tout le cas. Au contraire, l’occasion est dans l’air du temps. C’est écolo et bon pour la planète. Nous sommes fiers, chez Easy Cash, de donner à la seconde main ses lettres de noblesse. Tous nos produits sont certifiés et vérifiés par des prestataires externes. Il n’y a pas de place, chez nous, pour la contrefaçon. Nous proposons aussi une extension de garantie de deux ans sur de nombreux produits. Notre enseigne affiche d’ailleurs une croissance saine (et sur un rythme plus élevé que les autres réseaux de la seconde main), avec huit nouvelles ouvertures en 2024 et l’ambition d’atteindre les 200 magasins (contre 140 à ce jour).
Quels éléments clés du modèle Easy Cash vous plaisent particulièrement ?
Tout d’abord, sa capacité à faire participer ses franchisés à la construction et au développement du réseau, grâce à ses commissions et ses groupes de travail (en plus de faire partie de la « commission web », je travaille avec d’autres franchisés sur la démarche RSE de l’enseigne, avec l’objectif qu’elle devienne une entreprise à mission). Chez Easy Cash, les affiliés peuvent donner leur avis. Nous échangeons beaucoup entre nous. Il y a un vrai partage, notamment sur les bonnes pratiques et les remontées terrain. L’entraide est chez nous une réalité ; et sans concurrence puisque la franchise nous réserve des zones de chalandise exclusives. Chez Easy Cash, on se sent considéré et écouté par la tête de réseau.
Avez-vous des projets de développement ?
Nous nous félicitons, déjà, d’avoir été l’un des premiers magasins de l’enseigne à avoir adopté son nouveau concept, porté par une nouvelle identité de marque. Les travaux viennent d’être achevés. Quant à demain, oui, j’ai quelque chose sur le feu (l’ouverture d’une nouvelle unité Easy Cash, NDLR). Mais il est un peu tôt pour en parler.