François Tarquis, Franchisé, Point S

5 min Publié le 11 juillet 2024

François Tarquis, bonjour. Vous êtes franchisé Point S à Saint-Ouen-l’Aumône. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise Magazine.

Merci à vous.

Pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre l’enseigne Point S ?

Oui, j’ai démarré comme apprenti avec mon père qui était artisan, qui avait son propre garage. Ensuite, j’ai travaillé pendant un an dans une concession Renault, après le service militaire où j’ai aussi été technicien. Ensuite, la plupart de ma carrière a été faite chez Volvo. Je suis rentré comme technicien et j’ai terminé chef d’atelier. J’ai racheté ma première affaire, que j’ai gardé six ans, que j’ai revendu en 2019. Je suis retourné chez Volvo pendant deux, trois ans, n’ayant pas d’affaire à reprendre et comme il y avait le COVID aussi. Et là, j’ai repris cette affaire il y a deux ans. C’était un garage Midas qu’on a passé en Point S.

D’accord. Quel a été l’élément déclencheur qui vous a donné envie de vous lancer dans ce projet ? Vous aviez déjà l’expérience de la reprise ?

Oui, en fait, lorsque j’ai vendu ma première affaire, c’était dans le but de racheter une autre affaire. Sauf que je n’ai pas trouvé ce qui me plaisait à l’époque. Et lorsque j’ai eu l’opportunité d’acheter l’affaire où je suis actuellement, j’ai su qu’il y avait l’opportunité d’avoir le panneau Point S. Donc, je suis entré en contact très vite avec Déborah, qui est la responsable du développement chez Point S France. Et puis voilà, et ça s’est fait tout simplement. Donc, j’ai pu être en contact avec à la fois Point S France et Midas France, mais le côté humain de Point S m’a séduit.

Oui, ce qui vous a séduit dans Point S, c’est le côté humain et quoi d’autre, si vous pouvez développer ?

Le fait qu’il y ait un vrai accompagnement. On est vraiment suivi, on n’est pas laissé livrer à nous-même. Il y a un vrai accompagnement des adhérents. Quels que soient les problèmes que l’on peut rencontrer, les questions que l’on peut avoir, il y a toujours quelqu’un pour nous répondre, pour nous guider, pour nous aider. Et ça, pour moi, c’était très, très important.

Vous qui êtes un professionnel de l’automobile, comment vous avez été formé lors de votre arrivée au sein de l’enseigne ?

Au sein de l’enseigne, on a une semaine de formation sur les pratiques de l’enseigne et puis les différents logiciels. Et après, ensuite, pendant notre démarrage, on a des gens qui viennent nous former sur place pendant plusieurs jours.

D’accord. Votre centre, il est situé où exactement ?

À Saint-Ouen-l’Aumône, dans le Val-d’Oise. Il est à l’entrée de la ville. Il est en hauteur de ville, il est dans la cité de l’automobile. Là où je suis, il y a beaucoup de garages, beaucoup de concessions. Donc, on est vraiment à l’entrée de la ville.

Le passage sous enseigne Point S, par rapport à l’ancienne affaire Midas, est-ce que vous avez observé une augmentation, peut-être, de la fréquentation ou de l’activité ?

C’est compliqué parce que l’affaire, quand je l’ai reprise, était en train de péricliter, donc je n’avais pas vraiment de point de comparaison. On va dire que là, aujourd’hui, après deux ans d’activité, effectivement, on voit qu’on a de plus en plus de monde. C’est lié, je pense, à la fois à l’enseigne et puis après, à notre travail aussi, bien sûr.

D’accord. Combien de personnes est-ce que vous employez dans votre affaire ?

Actuellement, on est quatre. J’ai deux techniciens, un apprenti, moi. Et à la rentrée, on aura un apprenti supplémentaire en deuxième année de BTS et une alternante en marketing.

Quelles prestations vous proposez ? Je sais que Point S, il y a plusieurs activités qui sont possibles.

Aujourd’hui, sur ce centre, on propose toutes les activités liées à l’entretien du véhicule. Il y compris les mécaniques un peu plus importantes telles que remplacement d’embrayage, on peut faire du remplacement de moteur, on fait aussi de l’utilitaire, on fait aussi du vitrage. Donc, tout ce qui est réparation et remplacement de vitrage.

D’accord. La reprise a eu lieu à quelle date ?

C’était le 1ᵉʳ mai 2022.

Est-ce que c’est encore trop tôt pour envisager ça, ou est-ce que vous avez d’autres projets avec l’enseigne Point S ?

Oui, j’aimerais effectivement pouvoir me développer, soit reprendre un centre, soit créer un centre. Et il y a un concept qui me qui me tient particulièrement à cœur, c’est l’écomobilité. Ça fait partie des concepts que développe Point S. Moi, j’aimerais beaucoup développer ce concept, mais pas sur mon centre actuel parce que la configuration du centre ne s’y prête pas. Donc, j’explore d’autres pistes.

Selon vous, quelle qualité il faut pour réussir dans cette activité avec l’enseigne Point S ?

La qualité première, je pense qu’il faut être courageux. Il faut surtout aimer le contact avec la clientèle. L’amour du travail bien fait, ça, c’est important.

Et pour finir, quels conseils vous pourriez donner à quelqu’un qui hésiterait à se lancer sous l’enseigne Point S ?

Surtout d’aller rencontrer les gens de chez Point S, sur les salons, notamment les salons de la franchise. Ne pas hésiter à se renseigner, à demander à être recontacté et puis, poser toutes les questions que l’on a en tête afin de pouvoir se faire une idée. Et puis, éventuellement, même de ne pas hésiter à rencontrer un adhérent Point S.

François Tarquis, je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Je rappelle que vous êtes franchisé Point S à Saint-Ouen-l’Aumône et que votre actualité est à retrouver, notamment sur les sites Franchise Magazine et AC Franchise.