Jean-Luc Félix, Fondateur du Fournil Saint-André

4 min Publié le 9 juin 2022

Jean-Luc Félix, bonjour. Vous êtes fondateur de l’enseigne Le Fournil Saint-André. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise Magazine.

Bonjour et je vous remercie aussi également.

Pour commencer, pouvez-vous nous en dire plus à propos du concept Le Fournil Saint-André ?

Le Fournil Saint-André c’est une histoire de famille déjà, première chose. Le Fournil Saint-André c’est à l’image de mon grand-père qui se prénommait André et il avait créé une boulangerie dans les années 46. C’est pour cela qu’on l’a appelé Le Fournil Saint-André.

Quelle est l’activité du réseau et les produits proposés ?

L’activité c’est boulangerie, salon de thé et pâtisserie. Esprit convivial et esprit de famille, c’est un bon marqueur de l’enseigne.

Où en est le développement de l’enseigne et quels sont vos objectifs pour 2022 ?

Le développement débute, on est une jeune franchise développant en 2022 ses quatre ouvertures. Cette année, déjà l’ouverture qui est programmée le 1ᵉʳ août sur la ville de Laval, et deux, trois touches pour cette année, et pour 2023 dix ouvertures.

Quelles sont les villes ciblées pour étendre votre réseau ? Il y a des régions que vous visez en priorité ?

La priorité c’est la grande région Centre comme celle de Châteauroux, ça va de Nantes à Clermont Montferrand, Orléans et voir plus loin.

Et quels sont les critères pour devenir franchisé Le Fournil Saint-André ?

C’est à dire avoir les mêmes visions que nous, c’est-à-dire avoir l’esprit de famille. Pour moi les franchisés c’est des partenaires, ce n’est pas autre chose. C’est des gens qui veulent nous accompagner.

Vous ne recherchez pas des gens de la profession particulièrement ?

Pas spécialement.

Quel budget faut-il prévoir pour ouvrir une franchise Le Fournil Saint-André ?

Ça dépend de la surface de vente. On est sur un minimum de 400 mètres carrés, on va dire qu’on est à 550 000/ 600 000 selon le local d’investissement/ aménagement et après le matériel à plus de 250 000.

Comment se déroule le recrutement et la formation de vos nouveaux franchisés ?

Pour le recrutement on est soutenu par une personne que j’ai recruté pour la franchise qui s’appelle Stéphane Pétry, qui est très compétent dans ce milieu-là. Et après nous formons nos franchisés à Brest, sur site, pendant huit semaines et après on a un accompagnement avec trois personnes dédiées à la vente, la production pour l’accompagner quinze jours après l’ouverture.

Combien de salariés le futur franchisé sera amené à manager ?

Tout dépend le chiffre d’affaires mais c’est une moyenne de 12 à 18 personnes.

Comment se positionne Le Fournil Saint-André sur son marché ? Qu’est-ce qui vous distingue des enseignes éventuellement concurrentes ?

On a recherché des codes couleurs différenciant des entreprises traditionnelles. On a axé les couleurs sur le bleu, le noir et après on a un esprit place de village, place de marché. On a des réverbères, on a des arbres autour du magasin, on a des citations pavées au sol. Voilà, c’est la convivialité qu’on recherche avant tout, et aussi on a les options drive, avec un drive à l’extérieur, on a des salles de jeux pour les enfants à intérieur, salle de réunion privatives pour les entreprises.

Et le type d’emplacement que vous recherchez ?

Pas de centre-ville, c’est surtout en périphérie extérieure de ville et dans les zones commerciales.

Est-ce que vous accompagnez vos candidats dans la recherche de leur local ?

Oui, bien sûr on les aide, on a une équipe qui recherche des emplacements aussi pour le futur franchisé.

Et pour finir, quel message vous pourriez envoyer à un porteur de projet qui hésiterait peut-être à se lancer dans votre activité ?

On a l’esprit famille et c’est des partenaires.

Jean-Luc Félix, je vous remercie. Je rappelle que vous êtes fondateur de l’enseigne Le Fournil Saint-André et que votre actualité est à retrouver, notamment sur les sites Franchise Magazine et AC Franchise.