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      Miniature-Laurent Chauvon-1400×1400

      5 min

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      MP3 (2.57 Mo)

      Passé de l’industrie automobile à la vente de fleurs, Laurent Chauvon nous raconte pourquoi et comment il a ouvert en 2014 son magasin franchisé sous enseigne Carrement Fleurs à Douai, dans le Nord.

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      Sommaire

      Pour une écoute simplifiée de ce podcast interview de Laurent Chauvon, franchisé de l’enseigne Carrément Fleurs, rendez-vous directement à la partie qui vous intéresse.

      Laurent Chauvon, bonjour. Vous êtes franchisé de l’enseigne Carrément Fleurs. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise Magazine.

      Bonjour.

      Pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant d’intégrer l’enseigne Carrément Fleurs ?

      Alors, avant d’intégrer l’enseigne Carrément Fleurs, moi je viens de l’industrie automobile où j’étais agent de maîtrise, donc j’encadrais une équipe d’opérateurs.

      Et quel a été l’élément déclencheur qui vous a donné envie de vous lancer dans ce projet ?

      Alors ça va vous faire sourire, mais tout bêtement en allant acheter des fleurs. À l’époque déjà, je voulais créer, je voulais faire quelque chose, je voulais travailler pour moi. Et banalement, une invitation à la dernière minute où je me suis dit je ne vais pas arriver les mains vides. Et on arrive avec quoi ? Des fleurs. J’ai regardé un petit peu la boutique dans laquelle j’étais, et je me suis dit tiens, je vais me pencher, en tout cas, sur le secteur de la fleur.

      Et qu’est-ce qui vous a séduit dans l’enseigne Carrément Fleurs ?

      Plusieurs choses, il y a eu, alors déjà, la redevance…, la redevance qui est la plus faible du marché, et le côté esthétique, le concept architectural.

      Comment ça s’est déroulé votre premier contact avec l’enseigne, et puis les démarches pour rejoindre le réseau ?

      Alors, j’ai eu un premier rendez-vous avec le chargé de développement pour faire connaissance et me présenter un petit peu l’enseigne. Ensuite, j’ai eu un rendez-vous au siège avec le créateur de l’enseigne. Et là, pour le coup, là, j’ai été totalement séduit.

      Et comment vous avez choisi votre ville d’implantation, et comment vous avez trouvé le local ?

      Alors, je suis resté tout bêtement dans la ville dans laquelle j’étais, à Douai, dans le Nord. La recherche du local, quant à elle, a été un peu plus compliquée, parce que voilà, le local ça reste quelque chose d’important, et à chercher, je pense, pendant trois, huit, neuf, neuf mois oui, je pense.

      Et pour convaincre les banques de vous financer dans votre projet, ça a été compliqué également ?

      Je m’attendais à plus compliqué. Il y a un dossier bancaire qui a été réalisé par la franchise. Mon dossier, les banques ont, en tout cas la banque dans laquelle je suis, a adhéré tout de suite, et on m’a tout de suite dit oui.

      Il s’agissait bien d’une ouverture de point de vente ?

      Oui, ouverture, création.

      D’accord, et quelle superficie a votre magasin ?

      Alors nous, là tout de suite, on a 350 mètres carrés.

      Comment s’est passée votre formation initiale ? Comment vous avez été accompagné lors de votre lancement ?

      Alors, la formation se passe au siège, au siège du groupe où il y a eu une formation pratique, une formation théorique. Donc c’est les dirigeants eux-mêmes qui animaient ces formations. Ça a duré six semaines, c’était super enrichissant et, en tout cas, indispensable avant d’ouvrir.

      Combien de personnes emploie votre magasin ?

      Alors aujourd’hui, y compris moi, nous sommes 8.

      À quand remonte l’ouverture ?

      2014.

      Comment s’est passé le démarrage par rapport à votre prévision ?

      Alors le démarrage, je dirai presque mieux que sur les prévisions, on ne s’attendait pas à ça. Ça s’est super bien passé. Ça a accroché tout de suite, tout de suite.

      Et aujourd’hui vous avez d’autres projets ? Avec l’enseigne peut-être ?

      Alors oui, un deuxième point de vente est envisageable… Reste le local en fait, faut trouver le bon emplacement et le bon local.

      Quels sont les critères pour devenir franchisé Carrément Fleurs ? Quel profil il faut avoir ?

      Faut être courageux déjà, je pense, faut être sérieux, il faut avoir la tête sur les épaules. Il faut toujours être objectif, et puis il faut toujours veiller aux gains, aussi.

      C’est quoi la journée type d’un franchisé Carrément Fleurs ?

      Pour ma part, j’assiste à toutes les ouvertures, je suis quasiment là tous les matins. J’aime bien que tout soit en place, que tout soit propre, que tout soit nickel, que tout soit prêt à recevoir nos clients. Et puis après, il y a toute une partie, la partie managériale, toute la partie administrative, la partie commande. Je ne sers pas de clients, mon personnel est qualifié et le fait très bien. Moi, je suis plutôt sur la partie, on va dire, opérationnelle, tout ce qui commande, gestion.

      Quels sont les horaires d’ouverture du magasin ?

      Nous sommes ouverts tous les jours, sept jours sur sept, de 8 h 30 à 20 h.

      Et combien ça coûte d’ouvrir un magasin, en gros ?

      Alors moi, le projet global, qui inclut la formation, droit d’entrée, travaux, etc, c’était aux environs de 150 000 €.

      Pour finir, quels conseils vous pourriez donner à quelqu’un qui hésiterait à se lancer à rejoindre une enseigne comme Carrément Fleurs ?

      Je dirais qu’il faut pas avoir peur, faut avoir confiance. Moi j’ai vraiment été séduit par Carrément Fleurs. C’est une franchise qui est à l’écoute, et c’est vraiment ce que je recherchais, parce que le but c’est pas d’aller dans le mur, et à un moment donné voilà, il faut plus avoir peur et il faut y aller.

      Laurent je vous remercie, je rappelle que vous êtes franchisé de l’enseigne Carrément Fleurs et que votre actualité est à retrouver, notamment sur les sites Franchise Magazine et AC Franchise.

      Je vous remercie de cette invitation, et je vous souhaite également une bonne journée.

      Merci beaucoup Laurent.

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