Stéphane Maugenet, multi-franchisé, Easy Cash

5 min Publié le 15 décembre 2022

Stéphane Maugenet, bonjour. Vous êtes franchisé de l’enseigne Easy Cash à Niort et Bessines. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise Magazine.

Bonjour, c’est un plaisir de pouvoir échanger avec vous.

Pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant d’intégrer l’enseigne Easy Cash ?

J’ai démarré à l’âge de 21 ans. Je travaillais chez mes parents dans une supérette, donc j’ai travaillé pendant cinq, six ans. J’ai ouvert une quincaillerie, un magasin de bricolage électroménager que j’ai créé en 1994 et que j’ai cédé en 2000 pour monter le projet Easy Cash sur Niort. En 2001, j’ai ouvert le premier magasin sous l’enseigne Easy Cash, après avoir fait un an de formation sur Mérignac et sur Limoges.

Quel a été l’élément déclencheur qui vous a donné envie de vous lancer dans ce projet ?

Mon métier précédent était en campagne et j’avais envie de bouger, d’avoir une activité plus grosse et puis d’aller à la ville, parce que où j’étais il y avait 1200 habitants. Donc Niort c’est pas une grande ville, c’est pas une grosse périphérie, mais pour moi c’était déjà pas mal. Donc l’objectif c’était vraiment ça. Et le concept d’achat vente de produits d’occasion, je trouvais ça assez novateur. Donc j’ai été attiré, en fait, par ce concept là et c’est d’ailleurs mon père qui m’a mis l’intérêt, finalement, pour ce métier. Voilà.

Et qu’est-ce qui vous a séduit plus particulièrement chez l’enseigne Easy Cash ?

Alors ce qui m’a séduit, déjà le métier. Moi je venais de l’épicerie finalement, et je retrouvais, alors sauf une différence de produit, mais je retrouvais ce contact avec le client, cet accompagnement, le conseil client. Donc il y a un vrai échange avec le client, on est les petits commerçants finalement. Et ça, c’est ce qui me plaisait, et le fait de pouvoir travailler plusieurs familles techniques, la console de jeux, l’informatique et tout ça, c’était intéressant. Donc c’est ce qui m’attirait. Dans l’enseigne Easy Cash, ce qui m’intéressait, c’était le contact, le contact avec le franchiseur, l’approche du franchiseur et qui est toujours valable aujourd’hui, on a un problème, ils sont là, donc il y a un vrai échange avec le franchiseur et ça c’est intéressant.

Comment avez-vous été formé et accompagné lors de votre arrivée au sein de l’enseigne ?

J’ai été formé par un franchisé sur Mérignac, Monsieur Samson, qui m’a formé pendant six, huit mois, en parallèle donc, mon projet sur Niort se montait. C’était une création donc au niveau administratif ça demande quand même pas mal de temps, donc j’en profitais finalement pour me former, plus que ce qui était préconisé, mais c’est sans regret parce que ça m’a permis d’ouvrir dans de très bonnes conditions.

Quelle est la superficie du magasin de Niort ? Combien de personnes il emploie ?

Alors le magasin de Niort fait 450 mètres carrés et emploie huit personnes. Le magasin de Bessines fait 250 mètres carrés et emploie également huit personnes.

Le projet de Bessines vous l’aviez en tête dès le départ ou c’est venu au fil du temps ?

Non, c’est venu après, en fait, on a ouvert en 2001, donc Niort. Ensuite on a ouvert en 2005, moi j’avais un responsable informatique téléphonie qui avait de l’ambition et qui était rejeté. Donc en 2005 on a ouvert le magasin de Angoulins à côté de La Rochelle, en périphérie, et cette association s’est bien passée, donc en 2010 on a ouvert Saintes, et en 2011 on a ouvert Bessines. Depuis, il y a eu des il y a eu des échanges, il y a eu des rachats de parts et tout ça. Et on a ouvert La Rochelle, centre-ville également.

Quelles sont les conditions, les qualités requises pour devenir franchisé Easy Cash ?

Alors les qualités requises, c’est aimer commercer. C’est compliqué de faire ce métier en tant que unique investisseur. Il y a une vraie approche avec le client. Comme je le disais tout à l’heure, c’est vraiment du travail d’orfèvre, c’est assez précis, il y a une vraie approche avec le client et c’est très technique, donc c’est passionnant. C’est vraiment un métier de passion. Je pense que pour pouvoir venir dans l’enseigne, il faut être passionné par cet échange finalement.

Et pour finir, quels conseils vous pourriez donner à quelqu’un qui hésiterait à se lancer en franchise ?

C’est la passion avant tout, et ce qui est intéressant c’est que ce sont des entreprises à échelle humaine. C’est assez familial. Alors bon, dans le management il y a huit, dix personnes, sur des plus grosses structures ils peuvent être douze, treize à travailler. Mais c’est assez facile quand même à manager et à gérer. Et ce qui est intéressant c’est qu’aujourd’hui on séduit une nouvelle génération. Donc la génération Z est intéressée pour venir travailler chez nous. Sur le plan administratif, on est associés finalement à des brocanteurs, mais notre métier n’a rien à voir avec le métier de la brocante, on est dans l’écologie, on est dans le renouvellement, on est dans la seconde vie, et la nouvelle génération est intéressé par notre métier. Aujourd’hui ça les intéresse de venir travailler chez nous, ça valorise en fait le système.

Stéphane Maugenet, je vous remercie. Je rappelle que vous êtes un multi-franchisé de l’enseigne Easy Cash, notamment à Niort et Bessines, et que votre actualité est à retrouver notamment sur les sites Franchise Magazine et AC Franchise.