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      Thomas Giraud, adhérent Vulco à Guéret dans la Creuse : “J’ai commencé en bas de l’échelle comme employé de service rapide. En 2023, mon patron a décidé de vendre son centre : j’ai racheté son affaire et je suis devenu adhérent Vulco”.

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      Sommaire

      Thomas Giraud, bonjour. Vous êtes adhérents au VULCO à Guéret dans la Creuse. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise magazine.

      Bonjour et merci de m’avoir invité à faire cette interview.

      Pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre l’enseigne VULCO ?

      Moi, j’ai un parcours professionnel un peu atypique. Je n’ai pas été beaucoup à l’école, on va dire. J’ai commencé à travailler de bonne heure. J’ai fait beaucoup d’intérims. Par la suite, je me suis intéressé à la mécanique auto. J’ai été en formation à l’Afpa, qui est un centre de formation pour adultes. À l’Afpa, j’ai fait deux formations. J’ai fait une première formation dans le service rapide d’automobile, donc vraiment pour tout ce qui est entretien auto et j’ai enchaîné par une autre formation en mécanique automobile, pour avoir un diplôme de niveau 5, l’équivalent d’un CAP BEP. Après, j’ai commencé à travailler dans la concession Peugeot à Guéret. Par la suite, je suis arrivé au Centre VULCO de Guéret. Ça, c’était en 2010.

      D’accord, en tant que salarié ?

      En tant que salarié, oui.

      D’accord. Et comment vous êtes devenu adhérent dans l’enseigne ?

      Ça fait un petit moment que je suis dans la société. Du coup, de fil en aiguille, j’ai commencé en bas de l’échelle. J’étais juste employé de service rapide. Et puis, avec les années, j’ai commencé à faire un peu de réception, de gestion de stock, de facturation. Et l’année dernière, mon patron a décidé de vendre son centre. Je lui ai fait une proposition et je lui ai racheté son affaire. De là, je suis devenu adhérent VULCO.

      C’était un projet que vous aviez depuis plusieurs années ou c’est vraiment l’opportunité qui s’est présentée ?

      C’était quand même un projet que j’avais depuis plusieurs années, oui, effectivement. Et l’occasion a fait que c’est super bien tombé et j’en ai profité.

      D’accord. Qu’est-ce qui vous plaît particulièrement dans l’enseigne VULCO ? Parce que vous auriez pu envisager de créer avec une autre enseigne.

      L’enseigne VULCO, moi, je trouve l’avantage qu’elle a, c’est qu’on est assez libre. Ils nous laissent le choix de nos fournisseurs, ils nous laissent le choix de travailler un peu comme on veut. Ça, c’est super agréable. On a un soutien derrière. Si on a besoin d’aide, de conseil, on peut les appeler à tout moment. Ils sont vraiment très disponibles, c’est très appréciable.

      Ils ont accepté votre candidature immédiatement ou on l’a reprise ? Parce que je crois qu’ils ont un peu leur mot à dire.

      Effectivement, ils ont leur mot à dire et on a échangé avec le business consultant, avec plusieurs responsables. Moi, je travaille dans l’enseigne depuis 2010, même si au début, j’étais qu’ouvrier. Donc non, naturellement, ils ont accepté. Ça s’est très bien passé.

      D’accord. Et au niveau financier, reprendre un centre, représenter une certaine somme pour réunir les financements ? Ça a été facile ?

      Ça n’a pas été forcément très évident. Il a fallu démarcher plusieurs organismes pour avoir surtout des prêts personnels à taux zéro. C’est des organismes qui bossent avec la BPI. Nous, ça s’appelle l’initiative Creuse chez nous. C’est un dossier à monter. On passe devant une commission et ils acceptent ou non de nous financer en partie pour avoir un apport personnel. Et puis après, je pense qu’il faut savoir bien s’entourer avec un bon comptable, un bon banquier. Franchement, après, ça va.

      En ce qui concerne la formation, sachant que vous étiez déjà salarié du centre, est-ce que vous avez quand même suivi une formation, peut-être pour en devenir dirigeant ?

      Effectivement, le siège m’a convoqué pour me présenter les différents et vraiment approfondir les différents outils avec lesquels VULCO travaille. Honnêtement, je les connaissais déjà un peu, mais c’est bien de pouvoir approfondir et discuter avec les personnes qui gèrent tous ces outils.

      D’accord. Et suite à la reprise du centre ? Comment évoluait l’activité avec ce changement de dirigeants ?

      On a fait quelques changements. On a surtout fait des travaux de rénovation sur le côté accueil client et enseignes extérieures, parce que ça commençait à un petit peu vieillot. On a diversifié nos prestas mécaniques, c’est-à-dire qu’on fait un peu plus de choses. On s’est formé, notamment sur l’électrique, la climatisation qu’on ne faisait pas avant et on a embauché une secrétaire pour l’accueil client et tout ce qui est administratif, facturation, gestion de stock aussi.

      Combien de personnes est-ce que vous employez aujourd’hui ?

      Trois personnes. Deux personnes à l’atelier et une secrétaire.

      Quels sont vos projets pour ce centre ? Est-ce que vous avez éventuellement d’autres envies de créer ou de reprendre un deuxième ?

      Mes projets, j’aimerais bien me lancer dans le VTS, c’est-à-dire le dépannage ou l’entretien à domicile des pneumatiques poids lourds et agricoles. Pour l’instant, on est au stade de projet. J’espère que je pourrais le concrétiser.

      D’accord. Et pour finir, quel conseil vous pourriez donner à quelqu’un qui hésiterait à se lancer sur ce créneau et avec l’enseigne VULCO ?

      Mon conseil, il serait tout simple, c’est que si vraiment on est motivé et qu’on a envie de le faire, il faut se lancer. Il ne faut pas hésiter, il faut se lancer. Après, il faut savoir bien s’entourer, il ne faut pas non plus foncer tête baissée. Je pense que si on a envie, tout est réalisable, vraiment.

      Merci pour ce message encourageant. Thomas Giraud, je rappelle que vous êtes adhérent VULCO à Guéret dans la Creuse et que l’actualité de l’enseigne VULCO est à retrouver sur les sites Franchises magazine et AC Franchise.

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