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Yoann Mus, Franchisé, Mobalpa
Yoann Mus, franchisé Mobalpa à Beynost, dans l’Ain : “Je souhaitais travailler avec une marque française, or l’usine Mobalpa est située à Thônes, à 2h de mon magasin”
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Sommaire
- Yoann Mus, bonjour. Vous êtes franchisé Mobalpa à Beynost, près de Lyon. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise magazine.(00:00)
- Pouvez-vous, pour commencer, nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre l’enseigne Mobalpa ?(00:17)
- Quel a été l’élément déclencheur qui vous a donné envie de vous lancer, comme vous dites, dans l’aventure Mobalpa ?(01:42)
- Qu’est-ce qui vous a conduit à choisir Mobalpa pour ce projet ?(02:37)
- Comment avez-vous choisi la ville d’implantation ? Comme c’est à côté de l’usine, c’est étonnant qu’il n’y ait pas eu déjà un magasin.(03:45)
- Comment l’enseigne vous a-t-elle formé ? Sachant que vous étiez déjà un professionnel de la cuisine, qu’est-ce qu’elle vous a apporté de plus ?(04:42)
- Obtenir un financement, j’imagine que ça n’a pas été trop difficile. Les banquiers aiment bien les professionnels du secteur.(06:03)
- Comment s’est passé le démarrage de votre activité ? Avec ce contexte qui inquiétait les banquiers.(06:57)
- Être son propre patron, c’est un changement pour vous qui vous procure ce que vous en attendiez, j’ai envie de dire ?(08:04)
- Combien de personnes est-ce que vous employez dans votre magasin ?(08:53)
- Vous prévoyez de faire évoluer cette structure ?(09:01)
- Et pour finir, quel conseil vous pourriez donner à quelqu’un qui hésiteraient à se lancer en tant que franchisé dans la cuisine ?(09:27)
- Yoanne Mus, je vous remercie. Je rappelle que vous êtes franchisé Mobalpa à Beynost et que votre actualité, l’actualité de l’enseigne Mobalpa est à retrouver sur les sites Franchise magazine et AC Franchise.(10:12)
Yoann Mus, bonjour. Vous êtes franchisé Mobalpa à Beynost, près de Lyon. Tout d’abord, merci d’avoir accepté l’invitation de Franchise magazine.
Bonjour Vincent, c’est moi qui vous remercie pour me laisser l’opportunité d’échanger avec vous aujourd’hui.
Pouvez-vous, pour commencer, nous en dire plus à propos de votre parcours professionnel avant de rejoindre l’enseigne Mobalpa ?
Avec grand plaisir. Aujourd’hui, j’ai 40 ans et ça fait tout simplement 16 ans que je travaille dans le monde de la cuisine et de l’agencement en général, c’est-à-dire, conception de cuisine, de salle de bains et de dressings. J’ai commencé après avoir fini mon cursus au Beaux-Arts de Lyon. J’ai passé un diplôme national d’art et technique spécialisé dans ce qu’on appelle l’architecture d’intérieur. Et après ce diplôme-là, je m’étais inscris dans une formation en alternance à Lyon, toujours, qui était vraiment dédiée au monde de la cuisine. Et j’ai fait ma première expérience dans une boutique en centre-ville de Lyon, avec une marque italienne à l’époque, dans laquelle je suis resté un an et demi d’alternance, plus un an et demi en CDI. Après cette expérience-là, j’ai travaillé pour un autre indépendant. C’était un indépendant, toujours pareil, cuisine et salle de bains. Là, c’était ma plus grande expérience, puisque ça a duré presque 13 ans en tout exactement. J’avais commencé cette expérience en tant que concepteur vendeur sur un point de vente. Après quoi, on m’avait confié le management d’une équipe sur un point de vente. Ensuite, j’avais été directeur commercial. Là, je m’occupais de trois équipes et quand je suis parti, avant de me lancer dans l’aventure Mobalpa, j’étais directeur général dans cette entreprise.
Quel a été l’élément déclencheur qui vous a donné envie de vous lancer, comme vous dites, dans l’aventure Mobalpa ?
L’élément déclencheur, c’est qu’on voit tout simplement les années qui passent. On se dit : « OK, ce travail me plaît. Je travaille avec des équipes, des collaborateurs, tout se passe super bien, on est en phase avec tout le monde, mais il y a un petit manque. » On se dit : « Tiens, ce job-là, est-ce que je ne le ferai pas un jour pour moi-même ? » En fait, c’est ce qui me manquait. Plus les années passaient et plus ce manque devenait important. Un jour, on se réveille, on se dit : C’est le moment ou jamais, parce que si on ne le fait pas maintenant, un jour, on risque d’avoir des regrets, de se réveiller trop tard et de se dire : « OK, j’ai eu une belle carrière, je me suis bien amusé, mais je n’ai jamais lancé ma propre boutique ». Donc, je ne vais surtout pas avoir ce regret-là. C’est pourquoi qu’à un moment donné, je me suis dit : « Allez, cette fois, on fonce, on se met le petit coup de pied au fait ce qu’il faut, on sort de sa zone de confort et puis on y va. »
Qu’est-ce qui vous a conduit à choisir Mobalpa pour ce projet ?
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Il y a du choix dans le monde de la cuisine, c’est vrai qu’il y a du choix. Il y avait plusieurs choses pour moi qui étaient des indérogeables. La première, c’était : je souhaitais travailler avec une marque française. Je voulais absolument que le produit que je puisse vendre, pouvoir vraiment mettre en avant au sein de mes clients, auprès de mes équipes, dire : « Vous voyez, ce produit-là, il est fabriqué ici en France. » En l’occurrence, Mobalpa, comme vous le savez, c’est à Thônes. Par rapport à Beynost, on est à deux heures. Donc, pouvoir dire aux clients : Vous voyez, à deux heures d’ici, il y a presque 2 000 personnes qui travaillent, 2 000 Français qui travaillent dans cette usine pour concevoir la cuisine qu’on va monter chez vous. Et pour moi, ça avait vraiment du sens. Ça, c’était le premier point, c’était un produit français. Le deuxième point, je me suis dit quitte à choisir un partenaire, une franchise, autant prendre un nom qui ait une belle notoriété auprès du public. Et en fait, Mobalpa, quelles que soient les enquêtes, que ce soit dans ma région ou même en national, donc en France, ça fait toujours partie du top 3. C’est entre top 1, top 2, top 3. Ça fait partie des noms les plus connus et avec la plus belle image pour les consommateurs.
Comment avez-vous choisi la ville d’implantation ? Comme c’est à côté de l’usine, c’est étonnant qu’il n’y ait pas eu déjà un magasin.
Là aussi, c’était un point important. Quand on fait le choix, moi, ça s’est passé comme ça. D’abord, j’ai fait le choix de l’enseigne et ensuite l’enseigne m’a dit : Sur votre secteur, il y a tel emplacement et tel emplacement. Il y avait deux emplacements disponibles, donc Beynost et un autre. Et en fait, j’ai choisi Beynost tout simplement parce que c’est une ville qui ressemble en termes de proportion de propriétaires, en termes de proportion de maisons individuelles, à un secteur que j’avais bien travaillé par le passé. Quand on se lance comme ça dans une aventure, l’important, c’est de minimiser les risques. On essaye toujours de se rapprocher un petit peu de ce qu’on a connu pour optimiser tout simplement le savoir qu’on a emmagasiné. Je savais que sur un secteur comme celui-ci, ça serait une clientèle avec laquelle j’ai les bons réflexes, je pourrais apporter les bons conseils, plus que si c’était un secteur très différent que je découvre en même temps. Voilà pourquoi Beynost.
Comment l’enseigne vous a-t-elle formé ? Sachant que vous étiez déjà un professionnel de la cuisine, qu’est-ce qu’elle vous a apporté de plus ?
Il nous apporte beaucoup. Honnêtement, il nous apporte beaucoup l’enseigne. La première chose, ils vont nous former à leur propre produit. J’ai eu la chance d’avoir une formation d’une semaine sur le produit et sur les logiciels propres à l’enseigne directement à Thones. Mais ce n’est pas tout. En plus de ça, on a des formations en e-learning, c’est-à-dire qu’on a accès tout au long de nos temps de formation au logiciel de la marque avec un principe de questions-réponses qui nous aide à connaître toutes les spécificités du produit, tous les avantages qu’il peut avoir. Et ce n’est pas rien, parce que le produit, comme vous le savez, c’est une fabrication ici française à Thones avec des spécificités qui sont propres, même en ayant fait de cuisine avant, il y a tout un tas de choses qui sont spécifiques à la marque, qui sont des vrais atouts. Donc, le e-learning, une formation en présentiel. Là, c’est vraiment sur la partie, entre guillemets, enseigne-produit. Et en plus de ça, il y a une formation qui s’appelle devenir franchisé, où là, on va vous accompagner à tout ce qui est métier annexe au métier de cuisiniste, qui est le job de chef d’entreprise, c’est-à-dire savoir accompagner une équipe, des astuces sur le management, également sur la gestion l’entreprise, les indicateurs, les performances, etc.
Obtenir un financement, j’imagine que ça n’a pas été trop difficile. Les banquiers aiment bien les professionnels du secteur.
Oui. Le contexte dans lequel moi, j’ai démarré ce projet n’était pas le plus favorable, puisque Quand on a sollicité les banques, on était en fait fin 2023, c’est ça. Donc, avec la fameuse crise ukrainienne. Le ciel, on va dire, n’était pas le plus dégagé possible pour la partie financière. Pour autant, vous l’avez dit, le profil que j’avais, la connaissance que j’apportais de ce secteur auprès des prestataires bancaires était un atout. Clairement, ça a été un atout. Ça a rassuré, je pense, Mobalpa comme les partenaires bancaires. Sur toutes les demandes, je crois qu’il y en a un qui n’a pas répondu, mais tous les autres, c’était des réponses positives. Après, on a juste fait le choix des meilleures conditions. Quand c’est comme ça, c’est un peu plus confortable que quand on n’a qu’un choix.
Comment s’est passé le démarrage de votre activité ? Avec ce contexte qui inquiétait les banquiers.
C’est un démarrage qui s’est, je touche du bois, bien passé, puisque dès le premier mois, au mois d’octobre, octobre 2024, on ouvre, on fait sept ventes tout de suite. Dès le premier mois, on fait sept ventes. Le mois d’après, on en refait neuf et en décembre, on en fait dix. Donc, on fait une belle progression dès le début. Ce qui a été notable pour moi, c’était à la force de l’enseigne, puisque je me souviens, on ouvre alors jour et dès le lendemain, le samedi, j’ai le premier client quand il rentre et premier client qu’on vend. Il n’y a pas eu trop de stress, d’attente en se disant : Est-ce que ça va décoller ? Que ce soit moi et l’équipe, on a tout de suite mis les mains dans le moteur et on a dû y aller. Quand c’est comme ça, on ne se pose pas de questions. Et c’est tant mieux parce que je pense que sinon, on peut nourrir des angoisses. Ça peut être stressant au démarrage. Quand on n’a pas beaucoup de recul, là, ça n’a pas été le cas. Ça a démarré immédiatement. L’objectif, c’est toujours de faire plus puisqu’on est à dix ventes. J’aimerais bien qu’on puisse faire une quinzaine de ventes par mois, mais on a douze mois pour le faire. On a tout le premier exercice pour atteindre ses premiers objectifs, donc c’est plutôt très encourageant.
Être son propre patron, c’est un changement pour vous qui vous procure ce que vous en attendiez, j’ai envie de dire ?
Oui. Tous les jours, je me lève en me disant : J’ai fait ce bon choix. J’ai fait ce choix qui nécessite une prise de risque importante, je le mesure et j’en suis satisfait chaque matin. Non pas qu’il n’y ait pas de stress, parce qu’on ne va pas raconter d’histoire, il y en a énormément, mais c’est un bon stress, c’est-à-dire qu’on se lève pour soi. Chaque fois qu’on fait quelque chose, on le fait pour soi. L’énergie et le cœur qu’on y met, ça n’a plus rien à voir. On a une énergie décuplée, on a une énergie clairement décuplée. Aujourd’hui, c’est sûr que j’ai beaucoup moins de temps qu’avant, mais c’est du temps de qualité parce qu’on prend conscience quand on est avec sa famille que chaque minute est importante. Quand c’est le dimanche et que je suis avec ma fille, je suis plus heureux. Quand le soir, je retrouve ma femme, je suis plus heureux parce que je fais quelque chose qui me plaît toute la journée, tout simplement.
Combien de personnes est-ce que vous employez dans votre magasin ?
J’ai trois personnes sur la surface de vente, plus une personne à mi-temps sur la partie administrative.
Vous prévoyez de faire évoluer cette structure ?
Oui, clairement. J’espère que les résultats vont continuer à progresser, ce qui me permettrait idéalement d’avoir quatre personnes sur la surface de vente, quatre concepteurs vendeurs, et idéalement d’avoir quelqu’un qui puisse m’épauler après sur la partie technique. La partie technique dans notre métier, plus précisément, c’est le passage des commandes, la vérification des commandes et les métrés également effectués chez nos clients avant le lancement de fabrication.
Et pour finir, quel conseil vous pourriez donner à quelqu’un qui hésiteraient à se lancer en tant que franchisé dans la cuisine ?
Je pourrais lui donner déjà le conseil d’aller voir et d’aller discuter avec d’autres dirigeants. Ça, c’est le premier point, parce que c’est hyper rassurant d’avoir quelqu’un sur qui on peut mesurer sa motivation, son expérience. Voir que ça a marché pour d’autres, on se dit : Je ne suis pas plus bête qu’un autre. Donc, si un autre y arrive, il n’y a pas de raison que moi, je ne puisse pas en faire autant. Donc, discuter avec d’autres dirigeants. Et puis après, prendre le contact avec l’enseigne. Ça, c’est hyper important parce qu’ils ont un vrai accompagnement. Et là aussi, ça permet d’enlever les freins qu’on peut avoir ou les pensées limitantes qu’on peut avoir au départ.
Yoanne Mus, je vous remercie. Je rappelle que vous êtes franchisé Mobalpa à Beynost et que votre actualité, l’actualité de l’enseigne Mobalpa est à retrouver sur les sites Franchise magazine et AC Franchise.

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